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chapitre 1

-DRRRRRRRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIINNNNNNNNNNGGG !!!!

Comme chaque matin, la sirène sonne, on a beau dire qu'on s' y habitu, ce n'est pas vrai. Au fil du temps notre horloge interne fini par nous reveiller une minute à l'avance, juste le temps d'enfiler ces maudits casques, toujours troo petit ou trop grand, quelle galère. Ici, tout le monde se dit qu'on la mérité mais, moi, je ne suis pas de cet avis, je ne pense pas avoir mérité quelque chose d'aussi terrible, personne ne devrais connaître ça, si seulement il n'y avait que la sirène... Comparé au reste, la sirène est au partie de plaisir, elle ne dure que 15 secondes, en fait, elle ne fait que nous préparés à la suite, une suite terrible...

Je ne me suis pas réveillée à temps aujourd'hui, la sirène m'a percé les tympans. Bon, il faut que je me lève sinon je vais être en retard, il ne faut surtout pas se réveiller en retard, c'est terrible de ne pas arriver à l'heure.

Je file sous la douche, m'habille et prend un rapide petit déjeuner, je risque de l'être sinon, en retard.

Je me dépéche, pas parce que je suis en retard, non, c'est parce qu'il pleut, je déteste la pluis, presque autant que le règime qui nous tien, qui nous retient.

J'arrive devant l'amphi, il parait qu'avant les cours se faisait dans une salle de classe avec une trentaine d'élèves voir moins, enfin, en tout cas jusqu'à un exemen appelé BAC, apparement ils le passait vers 17-18 ans voir plus si ils ne le réussissais pas, certains avait la vingtaine à ce qu'il paraît, ils en avair de la chance, l'exemen "final" ils pouvait le repasser à plusieurs reprises, pas comme aujourd'hui, j'ai treize ans, je n'ai jamais étudier dans une salle de classe avec une trentaine d'élèves voir moins, l'exemen final détermine ce que l'on fera plus tard avec précision et, surtout, on ne peut pas le repasser un an plus tard, on ne pourra jamais le repasser, on est voués à travailler pour ceux qui ont réussi.

Donc, je suis devant l'amphi, plus de 5000 élèves attendent la sonnerie de commencement des cours, dans ma salle, nous sommes 500 à suivre le même cours, quand on ne comprend pas c'est temps pis pour nous, on n'avait qu'a comprendre.

-Hé, Joyce, tu viens ?

-Oh, salut Léane, oui, j'arrive.

Léane, c'est ma meilleure amie, on peut toujours compter sur elle, elle est tellement courageuse, elle a vécu tant de choses douloureuse, elle ne se plaint jamais alors que moi je le fais, parfois. Sinon, on se ressemble quand même, autant sur le plan physique que sur le plan loisir et intêret, bref, c'est ma meilleure amie.

Chapitre 2

Ça sonne, tout le monde entre en même temps, c'est toujours difficile de se faire une place pour pouvoir entrer, on poureait sagement attendre que tout le monde entre mais le temps d'attente est tellememt long qu'on finirait par arriver en retard et ça, c'est hord de question !

Je finis finalement par pouvoir rentrer, Léane me suit de près, notre salle est toute proche de l'entrée, nous y entrons rapidement et nous asseyons à nos places : 467 et 468e places. Nous profitons des dernières secondes avant le début des cours quand...

Joyce Heel, vous êtes attendue.

Un homme d'au moins 2 mètres se tient devant moi, il est habillè en noir et porte des lunettes au verre foncés. J'ai déjà vu des gens habillés comme ça, ils viennent chercher des élèves et les emmènent on ne sait où, la seule chose qu'on sait, c'est que personne n'en n'ai jamais revenu...

07 : 12Où les histoires vivent. Découvrez maintenant