Bonjour dans ma deuxième fic ! Même si celle ci est un OS...
Je vous conseille de mettre la musique en média ou une autre mais triste...
Et certains verbe ne sont pas conjugués, c'est fait exprès pour ne pas savoir qui parle...
Sur ce, bonne lecture !
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Dis moi pourquoi.
Dis moi comment.
Dis moi pourquoi tu es en sang dans mes bras.
C'était censé être une expédition tranquille où il n'y aurait pratiquement aucun danger. Et pourtant, toi tu es bien là, en sang dans mes bras.
Avant de partir, comme à chaque fois, tu me disais de faire attention à moi, que tu viendrais en cas de problème. Et c'est ce que tu as fait. Et maintenant, voilà où tu en est.
Où nous en sommes.
L'expédition fut un carnage. Le pire qu'on est jamais vu. Une horde de titans à surgit du côté gauche, sans aucune raison. Le côté gauche. Celui où j'étais.
Nombre de nos compagnons ont péri sans que personne ne puissent rien faire pour eux.
D'un côté ils me projetaient n'importe où, de l'autre côté une main géante m'attrapais.
D'un côté je me relevais, de l'autre côté je m'extirpais.
Un soldats coursier arrivait avec plusieurs soldats, dont toi, espérant sauver quelques une des malheureuses personnes se trouvant à mes côtés.
Peut-être qu'ils en ont sauvés, des vies. Peut-être que non. Je ne veux pas le savoir. Aussi égoïste que cela puisse paraitre, j'aurais préférer qu'ils ne viennent pas. Que vous ne veniez pas. Que tu ne vienne pas.
Parce que maintenant, nous en sommes là. Moi, dans la boue, toi, en sang dans mes bras.
On se cherchaient du regard et on s'est trouvés. Nous n'étions pas très loin de l'autre. Nous étions content de ne pas être loin. Mais maintenant que nous en sommes là, j'aurais préférer que nous soyons très loin de l'autre. Que nos regards ne se croisent pas.
Car une demi seconde après, je me trouvais de nouveau dans une mais géante.
Mais cette fois était de trop.
A force d'être projeter à tout va, j'avais mal partout. Je ne pouvais plus me débattre. Sa poigne étais trop forte.
Tu m'as alors vu en mauvaise posture. Près de la bouche d'un de ces monstres qui détruit nos vies, nos espoirs, nos rêves...
On avaient tout les deux compris que tu ne pourrait pas le tuer. Trop loin. Trop tard. C'était soit moi, soit toi. Je priais pour que tu ne vienne pas. Il m'étais inconcevable que tu soit blesser à ma place ou pire...
Et pourtant tu l'as fait. Malgré mes protestations, tu es venu(e).
Tu es venu(e) et tu as pris ma place. Celle dans la bouche du titan. Je me suis quand même accrocher à toi pour que tu puisse sortir. Et tu es sorti(e).
On tomba à terre, sans aucune maitrise enchainant les roulés boulés.
Et voilà où nous en sommes. Je le sais très bien comment nous en sommes arrivés là, mais je refuse de l'accepter. Je ne l'accepterais pas.
Tu me regardais droit dans les yeux et leva ta main pour sécher une des nombreuses larmes se trouvant sur mon visage avant de prendre la parole, et malheureusement, surement pour la dernière fois.
Livai : J-je suis désolé...
Moi : Ne sois pas désolé...t-tu ma sauvée...Je ne voulais pas que ça se passe comme ça...reste avec moi...
Livai : Excuse moi (t/p)...Je t'aime...
Moi : Moi aussi...
Autour de nous, se tenant à une distance raisonnable, nos amis. La 104ème brigade, Mike, Erwin, Hanji, Moblit... tout le monde est venu autour de nous. La plupart pleurent à chaude larmes silencieusement, tandis que certains ce retiennent avec mal. Malgré son caractère, Livai était beaucoup apprécié, par moi notamment.
Il n'y a plus de titan dans cette zone. Mais il est trop tard. Il va mourir....
Livai : Je comptais te le dire en rentrant m-mais on dirait que le destin en est décidé autrement...
Il prit alors une petite boîte se trouvant dans sa poche de blouson du bataillon. Il l'a tournis vers moi et l'ouvrit.
Moi : *Chuchote* Oh mon dieu...
Mes larmes redoublèrent de nouveau, le destin ne nous aurais décidément pas lâchés.
Une magnifique bague avec un diamant gris au reflets bleus se trouvait à l'intérieur.
Livai : (t/p)...Accepterais tu de devenir ma femme ?
Moi : Oui, OUI ! Bien sur que je le veut ! Livai...je t'aime tellement...
Comme réponse, il passa la bague autour de mon doigt.
Livai : (t/p), merci pour tout... tu es la plus belle chose qui est pu m'arriver. Reste comme tu es et continue de vivre la tête haute... fais le pour moi...
Moi : Je te le promet Livai... Je t'aime...
Livai : Merci pour tout (t/p), je t'aime...
Sa dernière phrase n'avais été qu'un murmure... Tout était fini.
Livai...
Pourquoi es tu sans vie dans mes bras ?
(787 mots)
