Une famille en or

59 3 0
                                    

   chapitre 4

Sylvie se gara devant la maison de son enfance . Rien avait changer depuis , à part la balançoire quelle partager avec son frère quand ils étaient petits ; elle avait disparu du paysage et remplacer par un abri de jardin construit entièrement par son père planches par planches . La journée montrait déjà la fin de son passage et avec elle la nuit tous doucement  assombrissait les rues éclairer juste de ces lampadaire . En se garant , elle reconnu le véhicule de fonction  de Marianne garer devant la maison . Bien longtemps quelle ne c' était vu ; la dernière fois , devait remonter à 3 mois, chez ces parents  . Les lumières des  fenêtres éclairer le jardin et la véranda fleuris de plantes grimppente de sa mère , de vert , de rouge ,  de blanc et jaune poussin ..même dans le noir , elle arrivait à les distinguer. Lui rappelant tous les moment de bonheurs passer dans cette maison. Leurs fou rires, les rigolade qui n'en finissant plus . Les barbecue que sont père préparait avec amour ; les anniversaires , alors que ces grands parents paternel et maternel étaient encore de  ce mondes , venaient les voir de Marseille  . Les petits bobos qu'ils se faisaient en jouant  ... son frère et elle si complice , toujours  près pour une joyeuse course de bataille d'eaux  . Jérémie toujours  près à lui faire des blagues , des jeux de garçon bien sur , qui n'était pas toujours à son goût . Comme... lui cacher une grenouille dans son chapeau les jours de soleil , qu'ils trouvait pas très loin de chez  eux a la rivière des acacia. Il ramassait  des fourmis et des verre de terres , les lui mettait ensuite sur ces chaussures , ou sur elle, pendant quelle dormait sur la chaise longue . Il adorais faire ça et bien d'autres blague comme ça . De beau souvenir renfermer ces murs que chaque objet lui rappelait quelque chose ...une enfance comme tous le mondes auraient aimer avoir .

Elle sonna et ouvrit la porte d'entré .Mais personnes ne répondit . Elle déposa ses sacs devant l'entrée et s'avança en tendant l'oreille . Personnes... elle se dirigea vers le jardin derrière la maison

Sylvie : hou...hou ,  maman ? Papa? y a quelqu'un ?...personnes ne répond

Des voix lui parvient ainsi que des odeurs de barbecues venant du jardin . Elle se laissa diriger par son odorat .

Assises sur des chaises longue .  Sa mère et Marianne omitouffer sous un plaid  , regardaient son père cuire les viandes rouge pour le dîner . les  odeurs succulentes de viandes griller , lui ouvrit l'appétit .

-Papa ? maman? vous êtes là ?

-Ma chérie ( sa mère la rejoignit en quelque emgember  , elle la serra dans ses bras à l'étouffer ) ma chérie tu ma trop manquer !  comment vas tu ?

- Bien , maman, ne t'inquiète pas pour moi , tous vais bien .

- Ma chérie viens t' installer près de nous sous le plaide. Papa a bientôt fini et on rentrent se réchauffer près du feu .

Sylvie ce blotti contre sa mère et ce laissa entraîné vers les chaises longue . Marianne lui souriait et lui tendit la main.

- Ma chérie comment va tu ?... Marianne

-Bonsoir Marianne, bien et toi? comment vas-tu ? . Je suis heureuse de te revoir. qu'es que tu deviens ?

-Oh ...toujours pareil , rien de nouveau , boulot, dodo..et la vie continue . Les malades sont très prenant , les urgences sont saturée et manque de personnels . nous somme tous ,  7 jour sur 7, 24 h sur 24, au poste près a donner les premier secours . Donc pas le temps d'avoir une vie privé .

Rien avait changer pour Marianne.  Sa petite vie restait en suspend , arrêter avec Jérémie , ou tous la ramener a se passer perdu  . Tous les jours quelque chose lui rappeler cette homme qui l'aimer comme jamais on ne l'avait aimer de tous sa vie et rendu heureuse ... doux et tendre... cette homme quelle aimer plus que tous au mondes.. on le lui avait arraché en un clin d'yeux sans crier gare...pourquoi lui ? Personne ne pourrais le remplacer  , lui. D'ailleurs qui pouvais rivaliser avec Jérémie , dans son coeur toujours vivant, toujours présent . La barre était trop  haute pour que quelqu'un d'autre puisse l'intéresser et lui faire oublier sa vie d'avant ; trop vivant dans son coeur pour laisser une autre personnes l'approcher.

Marianne se mis a penser a lui ... l'image de Jérémie danser devant ces ses yeux et lui souriait , avec le charme de  ses yeux bleu qui la faisait craquer . Personnes ne pouvaient  rivaliser a cette homme si beau , si charmant , la l'homme le plus gentil quelle avait connu . Comment son coeur pouvais oublier , même juste penser a quelqu'un autre que lui . Impossible! Inacceptable pour elle de laisser sa mémoire l'oublier .

                                        

Amour quand tu me tiensOù les histoires vivent. Découvrez maintenant