Devoir tout recommencer.

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Bonjour je m'appelle Maréva Mcclain , je viens de Jamy's City , une ville du Contardia.

Lorsque je vous raconte mon histoire j'ai 22 ans.

Je venais tout juste d'emménager dans mon nouvel appartement.
Depuis le décès de James je ne voulais plus rester dans cette ville , j'ai donc déménager à Oxfordius.

Avec un professionnel , nous finissions de faire la déco de mon appart.

2 heures plus tard , le travail était bouclé.
Nous regardions alors notre travail , mains posées sur les hanches.

‹‹ On a fait du très bon boulot ! ››
Lui dis-je sincèrement.

Il répliqua avec un sourire.
Je l'aidais à ranger ses affaires afin qu'il parte plus vite.

Seule dans l'appartement , je marchais sans vraiment savoir pourquoi.
Si je n'avais pas ouvert ma bouche , que ce serait-il passé ?

Dans la salle de bain , je me permis de faire un bain , afin de sortir toute ces pensées négatives de ma tête.

La vie était bien triste sans lui , les repas n'étaient plus les mêmes.
Le couché aussi n'était plus le même , la sensation de baisers mouillés me manquait , mais j'allais devoir m'y faire.

La lumière du jour me réveilla doucement , c'était mon premier réveil dans cet appartement.

En prenant mon petit déjeuné , l'idée de me trouver un travail me vint à l'esprit.
Il ne fallait pas que je perde de temps si je ne voulais pas devenir S.D.F.

Voyant la neige tombé à plein flot , je me vêtue d'un gros pull en laine , le pantalon que m'avait offert James , une écharpe et fini par un long manteau.
Je rejoignis la porte où se trouvait mes cuissardes plates.

Je descendis jusqu'au parking pour rejoindre ma voiture , où la chaleur régnait.

Malheureusement , comme je n'ai pas pu faire de grandes études , la liste des métiers était réduite.
Le seul métier qui pouvait me "plaire" était caissière dans un centre commercial.
J'optais alors pour Z&F , l'un des magasins le plus connu au monde , au moins , peut-être que celui-ci me donnera le nécessaire.

Je décidais de me conduire jusqu'au centre commercial.

Mais , j'avais complétement oublié que l'on étais un Dimanche , et bien évidemment , le dimanche rien est ouvert.

Je laissais échappé un long soupire provenant de ma bouche.