Wolveletters

Chapitre 1 ; Tout à un début.. (Larry)

La saturation de la fumé résultant de ma cigarette et le froid glacial qu'il faisait en ce 7 décembre 2018 créa chez moi une vague, épaisse et blanchâtre en apesanteur ne me permettant pas de voir où ce trouvais mon caleçon, dépourvu de toute énergie je continua donc à fumer celle-ci sur le bord de mon lit tout en gardant la fine couverture sur mes épaules afin de ne pas prendre froid.
Il m'a fallut une bonne trentaine de minutes avant d'avoir le courage de pénètrer cette vague de froid complètement nu, allant de pièce en pièce il y avais pas mal de chose au sol, sauf ce que je voulais vraiment, néanmoins je trouva le restant d'une bière que je bu dans la minute après l'avoir découverte.
Pas la peine de vous faire un dessin, je ne suis pas un modèle de propreté, ni même d'hygiène, l'état de mon appart vous le prouvera, des bouteilles d'alcool vide, des chaussettes, des cigarettes, des restants de biscuit apéritif et si vous êtes chanceux une seringue héroïne pleine sont aux rendez vous, ah au fait aurais-je donc oublié de me présenter? Je m'appel Louis, Louis Tomlinson, j'ai 18 ans et je n'ai toujours pas retrouver mon putain de caleçon.

C'est avec difficulté que je marche, obligé à plusieurs reprises de me tenir à un de mes miséreux meuble afin de ne pas m'effondrer, Je peine à avancer dans cette cabane de bois qu'est ma maison, en effet, n'ayant pas de famille, du moins pas de parent, j'ai passé 10 ans de ma vie dans une famille d'accueil qui me prenait pour Cendrillon, je suis maintenant majeur alors j'ai fais des petits boulots le plus souvent hors la loi, afin de me casser de cette famille de bourgeois et me payer ce palace qui ressemble plus à la maison des 7 nains que de Beyoncé.
Je m'habilla avec les vêtements que j'avais sous la main, je ne suis pas très bon dans ce qui est goût vestimentaire, je me contente uniquement de m'habiller le plus souvent en noir avec l'ancienne veste d'aviateur que mon grand père avait donné à mon père, même ci celle-ci était trop grande pour moi.

J'enfila mes converses ainsi que un bonnet du quel je laissa dépasser une mèche de cheveux, pris mon sac de cours en passant et également de l'argent, avant de retourner au lycée j'avais quelques achats à effectué, je pressa donc de me rendre chez Jughead, mon dealer, afin de lui acheter de quoi me faire rêver cette nuit ainsi que quelques pillules stimulantes pour tenir la journée.
Arrivé devant sa porte je frappa 2 grands coups ;
-Hé comment va ma petite frappé? Dit-il quand il me reconnu.
-Ça va ça va et toi mon pote?
-Écoute tranquille, les affaires sont pas mal en ce moment, on arrive aux temps des fêtes alors les gens commence déjà à faire leurs réserve, Il alluma un joint.
-Tu m'étonne.
-Viens à côté de moi, assis toi, tiens t'en veux, en me tendant ce qu'il était en train de fumer.
-Ouais je veux bien, je m'assis sur un fauteuil en face de lui.
-Ta pas très bonne mine Louis.
-Ouais je sais.
-Pourquoi?
-Parce que je me défoncé un peu tout les soirs et que j'ai pas dormis la nuit dernière.
-Qui c'est qui à fais la fête toute la nuit?
-Pas moi malheureusement, j'ai passé la nuit à rédiger une dissertation philosophique quelque peu cucul praliné sur "qu'est ce que l'amour".
-À l'amour, l'amour, l'amour on en rêve tous.
-Pour moi, ce n'est qu'un taps de connerie que les gens invente afin d'être sur d'avoir à chaque fois qui leur prenne l'envie une personne dans leur lit pour ce vider les couilles.
-Si tu obtiens ton diplôme, ne te lance pas dans le romantisme.
-Je retiens ton conseil merci, je lui rend le joint remis mon sac sur mon épaule et me leva, écoute, je dois filer j'ai déjà 3heures de retard, et je dois encore passer au tabac.
-J'ai une fin de paquet si tu veux je te la passe, ça t'evitera le trajet.
-Ce serait sympa, merci vieux, je te revaudré ça.
-De rien, je ferais tout pour ma chienne.
-Ferme ta gueule Jughead, lui dit-je avec un sourire en coin.
-Et au faite, tu prend pas ta marchandise?
-Ah Ouais, merde, je te dois combien?
-Pour toi c'est moitié prix, donc 50£ suffira.
-Tiens y'a 60 balles, garde la monnaie, c'est pour le joint, je claqua la porte derrière moi et descendit les escaliers, je m'apprêtai à partir quand..

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Salut tout le monde, voilà mon premier chapitre pour ma part, je sais il n'ai pas très long mais je vous laisse sur votre faim.
Bonne lecture et tout commentaire et le bienvenue.
Bonne fin de soirée.