Pretty

Partie 1

La pluie battante, claque sur les fenêtre. Nous sommes un vendredi après-midi. Rien n'avait changer, nous attendions la venue de pizza, pour conclure la soirée. Catty, Eriane, Lora, Mania et moi, nous étions dans ma chambre tapissée de posters, d'acteurs que je regarde tout les soirs. Mon père arrive avec des amuses-bouches, du pâtée en croûte et des chips au barbecue. Nous parlions de films déjà vues et de dessins animés. On rigolait de tout et de rien. Maé était discrète et ne parler de pratiquement rien. Elle buvait son verre de jus de mangue. Vers la fin de la soirée, Maé  nous proposa de jouer à un jeu. Elle sortit du placard, la grosse boîte de Cap ou pas Cap. On retira toute les cartes, quand sur une d'elle, était signer un message, Maé nous le cachait puis elle la mis dans sa poche droite. Mania l'avait vue mais elle ne disait rien, on a commencer à jouer. Maé n'avait sûrement plus envie, car elle partie dans la cuisine. Puis elle revient avec des pizzas. On était folle. Et on a conclues la soirée, avec une bûche au chocolat. 

Le lendemain, toutes les filles étaient rentrer tard, hier soir. J'étais épuisée, je ne savais plus quoi penser. Je ne savais pas si les filles allaient bien depuis hier. Car Maé n'était pas à sa plus grande forme. Eriane m'avait envoyer des photos de son départ vers la Russie, ce matin. Mania avait envie de ce faire une après-midi shopping. Lora était stresser, car sa mère est gravement malade. Et Catty avait commander du chocolat, mais ils ne sont pas arriver. 

Ce n'était que ce matin, les gouttes ruisselaient sur la fenêtre. Le vent s'entendait à des kilomètres. L'orage résonnait dans la vallée. J'habitais une petite maison autour d'un immense jardin, qui nous séparais de nos plus proches voisins. Notre petit cartier s'appelait "Le chemin de la paix" mais je préfère l'appelé "La vallée". Mon père m'appelle du bas de l'escalier, comme pour m'annoncer une nouvelle. Je le descends, avec rapidité. Devant la table ornée d'une nappe aussi blanche que la Lune. Les verres étaient tellement propre, que je me voyais dedans et la décoration aussi belle qu'a Noël. Ma mère voulait que je porte la robe blanche que j'avais mise lors de leur mariage. Ils souhaitaient que la pluie, l'orage et le vent s'arrête. L'homme d'affaire arrivait, mes parents m'avaient demander de rester sur l'escalier et de ne pas bouger. J'étais muette, je ne respirais presque pas. Il y a eu un énorme silence, puis l'homme sortait une fiche. Mes parents la prirent, avec inquiétude. Leurs regards se croisaient, comme des éclairs. Ils eurent un moment de respiration. Puis ma mère me fit signe de monter à l'étage, sauf que, je m'arrêtais avec d'aller dans ma chambre, quand j'ai entendue que cet homme allait saisir nos biens. J'étais abasourdie, puis je marche jusqu'à ma chambre, pour mit réfugier.