un truc kidnappé par machin, chapitre 1

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~ma chro et fictive mais el vau le coup d'aitre lu.



           

Bonjour, je m'appelle Sanaa. Je suis censée être une princesse et, comble de la royauté d'un point de vue de chroniqueuse intolérante, écrire comme une handicapée mentale, mais l'auteur qui m'a reprise, pour raisons évidentes de stress post-traumatique et de pure terreur visuelle, a préféré rester naturel sur la rédaction. Je disais donc : je suis un personnage auquel, même en ayant l'imagination d'Ewilan, on ne pourrait s'identifier. À ce qu'il paraît, la drogue de ma créatrice est tellement efficace que les proportionnalités telles que deux cent treize pourcents algérienne existent. Mais là n'est pas le problème : le problème, c'est que j'ai une mentalité qui pourrait faire exploser le record de Donald Trump, un corps que l'on a jamais vu et que l'on ne verra jamais, même sous effet de la drogue de l'auteure (qui en passant surpasse largement le niveau de la mienne) , sauf cas exceptionnel, si Photoshop existe un jour en 3D, et que, bien sûr, j'habite seule et j'ai assez d'argent pour m'acheter trois voitures de luxe par jour.

Ahahahahaha lol regardé loteur aile em tro sa vie lololol

Donc voilà, je suis Sanaa, je suis âgée de 21 ans, corps et vie (on exclut la mentalité, il ne faut pas faire l'hypocrite) de rêve et même, au-delà du rêve et de la perfection.

Youness, en passant, portant le prénom d'un ami de Lou, ce qui a accentué son traumatisme, est un thug qui, bien entendu, a une vie et un corps de rêve.

Jusque là, aucune incohérence, juste des clichés extrêmement douloureux qui me tordent réellement l'estomac.

Non, pardon, je disais : bonjour, je m'appelle Sanaa, et le méchant Youness m'a emmenée dans un hôtel onze étoiles. Étant donné que, subjugué par ma beauté et trop occupé à s'arracher constamment la lèvre quand, chose parfaitement normale, je me collais contre lui en nuisette, il n'avait pas vraiment pensé à me faire prendre des bagages, le lendemain de mon kidnapping, je n'avais rien à me mettre. J'allais donc m'acheter des fringues de luxe, sans aucune nouvelles de ma meilleure amie, qui, pourtant, fut assommée avec moi, et l'ayant déjà oublié (bh oué koi la sui okupé a faire lé magasin avc mont kidnapateur oklm lol AH LOU ARRÊTE D'ÉCRIRE COMME ÇA C'EST MAUVAIS POUR LE PAUVRE PETIT CERVEAU-SEMPAI). 

Quelques jours plus tard, alors que je menais une vie de luxe avec une frappe jusqu'à en oublier que mon père était en train de décéder d'anxiété (NDA: d'après l'auteure originale, Sanaa est prise en otage. Cette chronique ayant porté une grave atteinte à mes neurones et à ma créativité, je me vois dans l'incapacité à rattraper le coup question PDV familial...) , Youness m'annonça qu'on allait en soirée. Rien de plus normal pour une demoiselle prise en otage, je mettais donc mes magnifiques habits de luxe fraichement achetés grâce au compte en banque illimité de mon kidnappeur (rien de plus pratique qu'un thug beau gosse se mouchant dans les billets, n'est-ce pas? Je dîne souvent avec ce genre de personnes, avec mon corps de rêve, ils n'ont d'yeux que pour moi, il en vient tous les jours.) 

Que va-t-il se passer lors de la soirée ?

A suivre...

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