Nous sommes à Londres, en l'an 1854.
Le choléra ravage les rues de Broad Street.
Le ciel pleure sur les toits, les quartiers de Londres semblent inhabités, les maisons fument ce qui leur reste de bois.
C'est dans l'une d'elles, dans un silence saccadé, qu'un cri se fit entendre, un cri de bonjour et d'adieu, aussi doux que lourd, tant bien à l'oreille qu'au cœur.
Et ce fut sous les larmes de sa jeune mère, que William ouvrit ses yeux au monde, pour la toute première fois.

VOUS LISEZ
L'orphelin
Ficción históricaQuand l'on n'a rien, quand l'on ne possède rien, quand même la vie ne nous appartient pas, quand le monde est contre nous, le plus infime des détails devient un miracle, la plus petite et faible lumière devient un espoir, le plus timide des sourires...