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Je t'aimais de plus en plus, la cause en était la paix que cela procurait d'être avec toi. Tu n'étais pas un grand bavard, mais la sérénité se trouvant dans tes silences était belle, et rien qu'à te regarder, je perdais de l'inquiétude.
J'avais l'impression que tu avais vécu plusieurs vies et que ça te donnais un sacré recul.
Tu avais été tellement détruit dans le passé, a cause de ton histoire d'amour déglinguée, que tu ne pouvais plus l'être.
Mais par conséquent, tu n'avais, en aucun cas le droit de me faire souffrir. C'est pour cette raison que depuis cette nuit, tu restais à mes côtés. Cet événement se reproduisait quand nous en avions besoin, envie.
Étais-tu réellement heureux ? Tu ne me communiquais jamais ce que tu pensais, tes sentiments ou encore ton ressenti. Je me disais donc que tu allais bien. Tout comme moi, au près de ton être.
Question malheur, tu avais dépassé la dose prescrite alors, maintenant, tu étais immunisé.
