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Parfois je m'imagine un monde où seul nous serait l'essentiel, où chaque chose serait pertinente et ou chaque seconde nous rapprocherai. La nuit, mon inconscient prend conscience de l'innocence de notre amour. Mon cœur palpite au souvenir de ta voix et mes yeux brillent comme du verre au soleil. On m'a souvent dit que l'on abime son cœur à trop aimer mais Mon amour si tu savais chaques rêves et songes qui me ramène à toi,  chaque larme oublié dans tes bras, si tu savais tout espoir qu'il me revient grâce à toi et toute amour spectrale, aujourd'hui,venant de toi, inoubliable.
Et souvent j'ai remarqué que lorsqu'ils voyaient l'illusion, nous, on voyait la raison. On croyait en cette raison, celle qui faisait que je t'aimais si fort. Il y a des "je t'aime" pour la vie et d'autres "à l'infini" et il y a ceux que seul dans mes yeux tu lis. Mes maux fusent en mots, pour moi, écrire pour toi, c'est comme poser mon amour sur du papier, pour y inscrire à jamais, combien je peux t'aimer. Ton manque persiste, toujours, et continue encore ces nuits sombres, où j'y ai connu la solitude et la tristesse de ton manque, l'absence de tes mots et l'épuisement des larmes puis la fatigue de l'âme. Ces nuits de souvenirs insupportables où je ne me vois que détestable. Cette nuit à jamais marqué de tes baises où je ne fais qu'espérer.

[1] Dans Ma Tête...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant