Chapitre 19: retrouvaille

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⚠️ il y a des choses choquantes pour les personnes sensibles dans ce chapitre ⚠️

Je sais vraiment.. mais alors vraiment pas ce qui vient de se passer. Cet inconnu, enfin, le père de mon petit ami vient de m'embrasser.. il manquerait plus que je me fasse le grand père pour avoir la famille au complet. Je soupire de cette blague intérieure un peu salace mais qui me réconforte dans mon malheur...
Sans n'est pas là, je suis avec son père qui a l'air tout à fait du même genre que toute les foutues personnes de ce monde, et qui vient de m'embrasser!
Je reprends ma respiration, et essaye de me dire qu'il y a du positif dans cette situation. Au moins, ça ne pourrait pas être pire.

Comme le karma fait tellement bien les chose, je sens une présence derrière moi.. quelque chose qui m'effraie et qui me glace le sang. Je me retourne et la... c'est... sans..?

C'est un squelette, de taille moyenne qui porte un short et qui a l'air en vie. Enfin, entre guillemets. Tout m'indique que c'est sans. Sauf qu'il ne porte pas ses habits habituels. Il a une veste bleu, un t-shirt blanc et un short noir avec deux bandes blanches. Et en plus il porte des pantoufle rose, ce qui casse tout le côté sexy que dégage normalement sans.

Je lui souris comme je peux parce que mon instinct me dicte de ne pas sauter dans ses bras. Il me fait un signe de la main... cette main.. est trouée au milieu! Ça n'est pas sans!!

Je recule et essaye de m'enfuir mais mon corps se bloque. Je suis paralysée.. ça n'est pas le même Gaster.. ça n'est pas le père de sans... c'est un.. « autre Gaster » je suppose. Lui me donne froid dans le dos dès qu'il reprend sa forme originelle. Une masse noir avec une tête blanches fendue de cicatrices sur chaque œil. Et un sourire.. tellement flippant que j'ai envi de me mettre à genoux pour pleurer.

Il essaye de communiquer. C'est du winding. J'ai pris allemand troisième langue cretin... j'essaye de sourire mais le regarder m'en arrache toute l'envie.

Un trou noir se forme sous mes pieds alors que ma respiration s'arrête. Lorsque sans, mon sans, attrape ma main mais ne fait que tomber avec moi. Il me serre de toute ses forces alors que nous nous retrouvons dans une chambre inconnu. C'était à la fois le meilleur et le pire des endroits. Surtout parce que je ne savais pas où on se trouvait. Mais il est avec moi, il est venu pour moi.

A cette idée, mon cerveau arrête de fonctionner et mon cœur dicte mes gestes. Je pleure, je me serre contre sa cage thoracique, j'embrasse touts les centimètres de son corps qui sont à la porté de ma bouche. Il me caresse les cheveux en souriant.

Sans: Salut ma belle, je t'ai manqué ?

Mon visage remplit de larmes, j'hoche doucement la tête avant de l'embrasser.
Il m'écarte avant de me regarder, une lueur lubrique dans ses yeux.

Sans: j'ai envi de toi, là maintenant.

Je rougis alors que je me précipite pour lui énoncer toutes les bonnes raisons de ne pas le faire ici.

Julie: nous sommes chez un inconnu qui pourrait débarquer d'une minute à l'autre et si ça se trouve, il y a des caméras partout! Et Gaster peut nous observer et..

Il m'attrape les lèvres à pleine bouche sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit d'autre. Il m'appuie contre le lit alors que je gémis rien qu'au contact de ses os sur moi. Je sais que je mouille parce que... c'est sans, que je l'aime et que j'en ai envi. Je rapproche son bassin du mien en faisait des petits mouvement d'aller retour pour le stimuler. Il grogne et retire mon short avec ma culotte d'une grande rapidité. Je tressaille et je commence aussi à baisser son pantalon. Il retire mes mains d'un geste vif avant d'écarter mes jambes et de se mette à genoux, la tête entre celles-ci.

Je rougis encore plus et j'essaye de les refermer mais il me les tiens trop fermement. Il me regarde, amusé, avant de placer mes jambes sur ses épaules. C'est vraiment TROP gênant et je n'arrête pas de bouger dans tous les sens pour éviter ce qu'il s'apprête à faire. Il me mord doucement les cuisses en souriant de mon malaise.

Julie: sans, je t'en supplie! Ne fais pas ça!

Sans: Supplie moi encore.

Son ton autoritaire me rend bouche bais et j'arrête de me tortiller. Un petit rire s'échappe de sa bouche avant de lécher entièrement ma partie. Mon corps s'arc-boute et je gémis de plus belle. Il continue et me mordant doucement. Il rentre alors sa langue et mon corps tremble. Je le sens à l'intérieur et c'en est tellement trop que je suis sur le point de tout lâcher. Je griffe les matelas, cris et gémis son nom.

Il retire sa langue juste avant que j'atteigne l'apogée ce qui me fais pousser un soupir de désespoir. Il le remarque et me chuchote .

Sans: Je n'en ai pas fini avec toi ~

Je sens que tout mon corps frémit alors que sans se lève.

Sans: tu vois ce bureau ? Je veux que tu te mettes devant mais, dos à moi.

Sans trop réfléchir je fais ce qu'il demande. Il attrape alors mon bassin ce qui a pour effet de me plier en deux. Je suis en totale position de faiblesse et je ne peux m'empêcher de gémir lorsque je sens quelque chose de dur se frotter a moi.

Il baisse son pantalon et son boxer avant de violemment pénétrer en moi. Je hurle de surprise mais aussi de bonheur parce que c'est bon. Il commence à me pilonner de toutes ses forces et avec une telle rapidité que jamais je n'aurais pu penser l'effet que ça fait.

Je n'ai rien pour m'agripper, alors je ferme les yeux en continuant de gémir à chacun de ses aller-retours qui se font de plus en plus profond.

Sans: J-J'avais presque oublié.. ah.. À quel point.. t'étais serrée!

Je suis sur le point de jouir tellement sa voix et ses mouvements me font un effet de dingue.

Julie: Sans.! Saans!!!

Sans: t'aimes quand c'est violent hein? Je vais pas t'épargner!

Lorsque je recommence à trembler, sans va encore plus rapidement et je sens que tout mon corps se laisse aller. Je cris de toutes mes forces, le visage rouge de sueur alors que Sans
est lui aussi en plein orgasme.

Il ralentit pour enfin s'arrêter complètement. Nous sommes haletants, à bout de souffle. Sans se retire et m'attrape juste avant que je ne m'écroule sur le sol. Il sourit et me ramène à ce lit inconnu. Nous sommes à présent sous la couette et je m'endors dans un profond sommeil.

Quelques heures plus tard, une porte s'ouvre et je me réveille doucement. Là.. c'est la merde!

Underlust fanfic~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant