Partie 4

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-Jeune idiot ! Tu dois comprendre. Tu ne te donne pas les moyens.
-Mais si j'essaie.

Steve était allongé dans son lit et repensais à son enfance dans la pension. Il était une vrai tête de mule et ses parents avaient pris la décision de l'emmener en pension. Une pension particulière puisque tout les enfants finiraient policier ou chef des services secrets. Pourquoi ? Parce qu'il avait 4 maître d'art martiaux. Monsieur Pugret était le maître favoris de Steve.

-Je t'enseigne et tu ne veux plus. Chaque chose en son temps. Ne sois pas pressé comme une vache.
-Pourquoi une vache?
-Tu comprendra plus tard.
-S'il vous plaît ....
-Chaque chose en son temps ! Mon petit ruminant.
-Cesser de m'appeler ainsi !
-Je suis ton maître ou suis-je ton père ?
-Mon maître ... pardon maître.
-Parfait.

Quelques jours plus tard...

-Tu te souviens que je te comparais sans cesse à une vache?
-Oui.
-Vas y pose moi la question qui te brûle les lèvres.
-Pourquoi une vache?
- Une vache car : la vache est un animal pressé...
-Allez y continuez...
-Sa vie se résume à manger et dormir. Mais tout doit être fait avec précipitation.
-Comment le savez vous ?
-Je le sais c'est tout.

Les jours suivant maître Pugret avait donner à Steve une tâche. Observer les vaches.
Il n'avait rien trouver de particulier à ses animaux. Il compris plus tard... en observant bien elle paraissaient stressée. Pas faire les choses rapidement mais juste stressée de ne pas finir de dormir ou de manger. Comme lui ... Steve.

Des jours plus tard. Sur son lit de mord. Maître Pugret avait demander Steve. Celui ci était venu.
- Tu dois ...
-Maître.
-Chut... ceci est ta dernière leçon. Il toussa. Tu dois d'abord...
-Maitre ...!
-Tu dois d'abord aimer ton ennemi avant de le haïr, et ... il toussa de nouveau.... et tu dois haïr ton ami pour pouvoir l'aimer.
-Maitre.
-Cesse donc de m'appeler comme cela. Je suis ton ami et non pas ton père ou ton maître. Il toussa encore puis ses yeux se fermèrent à tout jamais.

Steve pleura. Il avait perdu un ami et un mentor. Il ne montra jamais son chagrin et se montra digne de son maître.

Vu par Suzie:

Le moment était venue. Je bondis hors du sac....

Presque adieu ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant