Je ne note pas mon nom ni celui de mes collègues dans ce journal
afin qu'on ne puisse pas nous retrouvés. J'ai, ainsi que des collègues,
participé à une expérience scientifique qui consiste à créer une vie
humaine qui ne ressentais que de la joie, pas de colère, de tristesse, de
stresse, seulement de la joie ; pour cela nous avons juste extrait
quelques chromosomes que nous avons séparé les uns des autres. Je
me demande encore ce qui a pu foiré, peut être des erreurs de calculs
ou des erreurs dans le protocole ?
Nous avons fait des tas d'essaies mais les foetus mourraient au
bout de quelques semaines ou quelques mois, certains furent atteint de
malformation au niveau des membres inférieur et supérieur tandis que
d'autres eurent une crâne déformé ou excessivement gros, néanmoins
nous eûmes réussit à faire grandir cinq spécimens, leur croissance
furent accélérée par rapport au enfant dit normaux mais ils furent
incapable de bouger ou même de parler, ils se contentent de rire
nerveusement au milieu de leur chambre, assis au milieu de la pièce,
leur corps parcouru de spasmes, nous pensâmes à un manque de
sommeil car ils ne dormirent point.
Petit à petit on parla entre collègues de cauchemars dont nous
fûmes victime, leurs rires étouffés nous hantâmes, nous eûmes donc prit
la douloureuse décision d'abandonner le projet, nous dûmes supprimer
tous les sujets. Dès que j’eu fini de préparer une dose suffisante de
somnifère pour chacuns des cinq, nous la mélangâmes à de la
nourriture. J’observai mes collègues rentrer en même temps dans les
chambres grâce aux caméras, quand ils eurent déposé les gamelles au
sol devant les spécimens le silence se fut, pour la première fois depuis
leur création ils arrêtèrent de rire et fixèrent mes collègues qui tombèrent
au sol en se bouchant les oreilles, je les entendis hurler sur les choses
que nous eûmes créé, ils leur hurlèrent d'arrêter ce qu’ils firent mais je
les vis point bouger, ni parler, un silence pesant fut installé puis une
coupure de courant, un grand fracas de portes et de verres.Après quelques minutes le courant revint mais plus d’images des
chambres, je descendis donc avec une petite arme, un courant d’air
parcouru mon dos accompagné de frissons, je me tournai et vis la porte
ouverte derrière moi, celle qui mena jusqu’au monde extérieur, je courus
vers les chambres et vis mes collègues allongé au sol leur corps
ensanglanté gisait, le visage fracassé sur le sol, à peine identifiable, et le
corps transpercé par des morceaux de verres cassé, le verre matifié des
chambres avait été brisé, j’ai dus brûler notre entrepôt avec leur corps a
l'intérieur, détruire toutes les preuves de cette expérience.
Quelques semaines après cette incident le syndrome de l’ange
déchu c’est propagé, de nouveaux enfant furent atteint de ce syndrome
dont les médecins ignore la cause, ils cherchent tous un traitement mais
il n’y en a pas, il faut les tuer, ce ne sont pas des hommes c’est des
choses. Si vous entendez un rire étouffé derrière vous: courrez, si vous
avez des frissons alors qu’il ne se passe rien : courrez, si vous vous
sentez suivis ou observé : courrez.
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L'expérience des anges déchus
General FictionJe ne note pas mon nom ni celui de mes collègues dans ce journal afin qu'on ne puisse pas nous retrouvés.