Il est beau l’Homme, il est grand, il est fier ;
Retenu par les chaînes de sa propre haine ;
Âme de peur et de rancœur ; il est grand,
Il est fier, victorieux de son propre bras.
Il se complaît sur son trône d’obscurité,
Incapable de voir sa reine de lumière.
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bon, bah voilà... Ça sort un petit peu de nul part, je vous l'accorde mais bon j'imagine qu'on a pas vraiment à justifier quand on écrit quelque chose...
ce poème (ou appelez ça comme bon vous semble) est en réalité le fruit d'un exercice génialement frustrant proposé par mon prof de français (tout aussi génial)...
j'espère qu'il vous plaira, en tout cas j'aime bien le résultat.
PS : ne faites pas attention à la couverture, j'aime juste les poulpitopes...
