Simple mélodie qu'est la mer, effaçant les traces de pas récentes dans le plus fin des sables blancs. Balayé par une douce brise, les cheveux d'une personne vole au vent. L'horizon veut cette personne, attiré par les étoiles de ses pensé. Plongeant ses chevilles et ses mains, la personne ramasse un coquillage brisé, trempé, salit par la mer mais en regardant des plus attentivement, la beauté du coquillage formant milles spirales est capable d'impressionner même les plus aveugles monstres.
Le sifflements des bateaux, douce vague de chaleur, première des pécheurs, abandonnant la terre pour les jours suivants ayant pour seul compagnons les divers poissons que conserve l'océan.
Précipitamment, le phare est escaladé, la tempête des plus rares violences, tremblant le béton et envolant les poissons, il ne fut d'utilité que quelque minute pour enrouler le phare dans les tonnerres de vents.
Toute vie fut malmené, plus aucune traces ne disparaîtront dans l'horizon. L'horizon à obtenu son désire.