Un peu autoritaire et tenant à son indépendance comme à la prunelle de ses yeux, elle répond mal aux normes bourgeoises de bonne épouse et de bonne mère. Elle peut être maternelle et s'occupe décemment de ses enfants à condition qu'ils soient beaux, intelligents et dynamiques. Son mari n'aurait jamais intérêt à lui imposer une façon de vivre quelconque, car toute contrainte la rebute. Elle ne conçoit pas le mariage conventionnel comme la meilleure solution de vie pour la femme ou pour l'homme. C'est pourquoi elle peut facilement opter pour le célibat ou l'union libre. Elle peut aussi accepter le divorce sans larmes ni pincements au cœur, se moquant éperdument du qu'en-dira-t-on. Mais c'est souvent à partir de la cinquantaine que Flory seule commence à sentir le poids de la solitude et à souhaiter l'union avec un homme gentil et tolérant. C'est au troisième âge qu'elle a plus de chance de réaliser le bonheur conjugal.