Entre midi et deux ⚠️

Troisième partie 3

🔔ENTRE MIDI ET DEUX🔔

J'étais surprise de le voir aussi tôt, que faisait-il à la maison ? avait-il eu vent de la situation ? J'étais inquiète mais je pris mon sang froid et je franchis le pas de la porte, il m'accueillit à bras ouverts. Mon amour comment vas-tu ? Tu m'as tellement manqué. Il m'embrassa langoureusement. J'avoue que j'étais un peu perdue. Que fais-tu à cette heure à la maison, tu es descendu bien tôt. Oui répondit-il. Je voulais profiter un peu de ma sublime femme et devine quoi j'ai pris 2 semaines de repos. Je pourrai les passer avec toi, on ira à Assinie, Bassam, jacqueville qu'est-ce que tu en penses ? Dit-il tout excité, mais bb je travaille. Je ne peux pas me libérer tu as oublié. Non ma puce tu es en congé à partir de ce soir vérifie bien ton emploi du temps. J'étais tellement encré dans ma relation avec Pierre que je n'ai pas vu le temps passé, j'avais même oublié qu'aujourd'hui était le début de mes congés, comment ferais-je pour voir Pierre ? J'éclatais en sanglots, c'était trop fort pour moi. Mmon amour qu'est ce qui se passe dit-il en me prenant dans ses bras, il essuya mes larmes et caressa délicatement ma joue. Absolument rien mon cœur, je suis juste heureuse que tu aies fait l'effort de te libérer pour me faire plaisir, ce sont des larmes de joie. La 1ere journée de congés se déroulait plutôt bien. Nous sommes arrivés à Bassam aux environs de 18h. J'ai dû prévenir Pierre par message de la situation, il n'était visiblement pas content surtout que nous nous étions laissés en queue de poisson mais bon je n'avais pas le choix. Notre chambre faisait face à la mer elle était reposante et calme, à peine nous nous fumes posés que mon mari me fit l'amour c'était bon mais un peu trop traditionnel, pas comme avec Pierre ou il y avait de la folie mais je fis avec. Nous descendîmes dîner dans le restaurant de l'hôtel. Grande fut ma surprise d'y trouver PIERRE. J'étais choquée j'étais dépassée mais que faisait-il ici ?
Il me fit signe de la main, et me sourit, j'étais en sueur et si mon mari s'en rendait compte, qu'allais-je faire ? Je pris mon sang froid et je continuai tranquillement à discuter avec monsieur. Juste après nous regagnâmes notre chambre. Je fis mine d'avoir oublié quelque chose au restaurant et je sortis de la chambre 🔔ENTRE MIDI ET 2🔔

Partie 9

Comme d'habitude c'est sans surprise que mon mari me demanda la permission de se retirer il avait eu une urgence, il s'excusait, il me demandait pardon mais il me donnait le droit de rester encore un peu pour profiter de mes congés. Il me promit de revenir le lendemain ou au pire des cas je devrais le retrouver sur Abidjan. Tout nos projets tombaient donc à l'eau comme d'habitude. Je l'implorai, je le suppliai. Je pleurai mais il resta ferme en m'expliquant que c'était une urgence, j'acquiescai. Dès qu'il fut parti, j'allai rejoindre Pierre qui n'attendait que ça,
Baise moi stp dis-je défonce moi, fais de moi ta pétasse, j'en ai envie. Il me prit dans ses bras me bizouta le visage et me dit:
- Pas comme cela le cadre est trop beau pour que je te prenne comme cela va te changer on se rejoint à la plage. - Je courus porter aussitôt un maillot 2 pièces avec une petite jupe par dessus et je pris une serviette, Comme 2 amis nous quittions l'hôtel à bord de sa voiture. Le connaissant ça promettait..
Nous primes un bungalow. A peine installés il souleva ma jupe et me doigta c'était bon. je me cambrai légèrement, Il titilla mes seins, jouait avec mon clitoris. Quand je fus bien mouillée il me baisa sauvagement, c'était violent mais c'était bon avec la brise de la mer qui tapait mes fesses je jouis comme une pétasse. Quand je me retournai,  je remarquai que la porte du bungalow était ouverte. Il aimait tellement le goût du risque.

A SUIVRE...pour appeler Pierre et là je me retrouvai nez à nez avec lui. Apparemment il était descendu dans le même hôtel que nous, et le pire nous étions voisins de chambre. Mais que me fais tu là ? Tu es fou ? Il sourit me plaqua contre le mur et me dit" tu devras nous partager, je ne peux vivre sans toi, sans ta chatte chaude et humide, tu me manquais trop". Il m'introduisit son doigt dans ma chatte et m'embrassait dans le cou, c'était dangereux mais c'était excitant. Dans un sursaut de lucidité je le repoussai et je lui dis arrête mon mari est juste à côté ce n'est pas bien.
- Alors rejoins moi dans ma chambre je t'y attendrai dit-il en tapant sur mes fesses. J'étais dans la merde comment allais-je faire pour sortir de ce merdier. Mon mari ne m'avait rien fait je voulais juste un peu de compagnie, pas un chewing-gum tarzan ! Je regagnai ma chambre. Dieu merci monsieur était fatigué il dormait. Pour une fois je bénissais la fatigue dû a son travail.
Comme d'habitude c'est sans surprise que mon mari me demanda la permission de se retirer il avait eu une urgence, il s'excusait, il me demandait pardon mais il me donnait le droit de rester encore un peu pour profiter de mes congés. Il me promit de revenir le lendemain ou au pire des cas je devrais le retrouver sur Abidjan. Tout nos projets tombaient donc à l'eau comme d'habitude. Je l'implorai, je le suppliai. Je pleurai mais il resta ferme en m'expliquant que c'était une urgence, j'acquiescai. Dès qu'il fut parti, j'allai rejoindre Pierre qui n'attendait que ça,
Baise moi stp dis-je défonce moi, fais de moi ta pétasse, j'en ai envie. Il me prit dans ses bras me bizouta le visage et me dit:
- Pas comme cela le cadre est trop beau pour que je te prenne comme cela va te changer on se rejoint à la plage. - Je courus porter aussitôt un maillot 2 pièces avec une petite jupe par dessus et je pris une serviette, Comme 2 amis nous quittions l'hôtel à bord de sa voiture. Le connaissant ça promettait..
Nous primes un bungalow. A peine installés il souleva ma jupe et me doigta c'était bon. je me cambrai légèrement, Il titilla mes seins, jouait avec mon clitoris. Quand je fus bien mouillée il me baisa sauvagement, c'était violent mais c'était bon avec la brise de la mer qui tapait mes fesses je jouis comme une pétasse. Quand je me retournai,  je remarquai que la porte du bungalow était ouverte. Il aimait tellement le goût du risque.

Holala 😪😪😪😪!!!!!!!!!!!!!!!