Je me promener sur la plage, sa main dans la mienne, un sourire scotcher sur nos lèvres et des rires qui n'en finissait plus.
Cela faisait un peux moin d'un mois qu'on se connaissait et 3 semaine qu'on était ensemble, on avais accroché assez vite, et somme rapidement devenue très proche, pas comme des amis non, un jeux de séduction avait commencer dès le début.
Je venais d'Australie et elle ne m'avais juste préciser que s'était à des kilomètres de chez elle.
Elle était blonde avait les yeux d'un bleu comme l'océan, en un regard vous vous retrouviez noyer dans son majestueux iris.
J'étais en vacance à Haïti depuis presque un mois, tout comme elle.
Elle s'appelle Clarisse, des jambes magnifiquement élancer, des formes que toute les filles voudrait possédée et des lèvres qu'on n'arrive pas a se retenir d'embrasser, bordel qu'elle est belle.
Clarisse: "Riley tu m'écoute?"
Moi: "Ha euh désolé... tu disais?"
Je m'étais une fois de plus perdue dans mes pensées, mais le problème c'est que dans ma tête il n'y avais maintenant plus qu'elle.
Elle se contenta de soupirais doucement et de secouer légèrement la tête en souriant.
Dès qu'elle souriait je perdais pied, cette fille était une déesse née.
Elle lâcha ma main et se plaça devant moi en m'entourant de ses bras et en enfuyant sa tête dans mon cou.
Clarisse: "J'ai pas envie de te quitter Parker, tu vas terriblement me manquer, jamais je t'oublierai t'entend?"
J'aimais quand elle m'appeler par mon nom de famille je trouvais ça amusant, même si la plupart du temps on s'appelait comme ça seulement pour se taquiner.
Ma main caressait ses longs cheveux blond légèrement mêlée par le vent.
Son souffle chaud dans mon cou me procuré tellement de bien, quand à ses paroles, celle-ci me déchiré, je me suis écarter d'elle et lui est prit le visage entre mes mains tout en caressant ses joues avec mes pouces.
Moi:"Tu me manquera aussi terriblement Smith."
Elle souriait faiblement et moi aussi, mon regard se perdit dans le sien avant de descendre jusqu'à ses lèvres, je n'eus pas le temps de l'embrasser qu'elle le fit à l'instant même où je comptais le faire, s'était un baiser plein de sentiment, de tristesse... Un baiser d'adieux.
Je sentais ses larmes couler silencieusement sur ses joues rosies par le vent, après encore quelques seconde nos lèvres se décolèrent par manque de souffle, mon front était posait sur le sien et je me contentais de la regardait dans les yeux, et de lui essuyer les larmes qui ne cesser de couler sur son visage d'ange.
Son regard me suppliait de ne pas la laisser, elle étais triste et le laissait transparaître. Je me surpris moi même à verser une larme, je ne supporter pas la voir comme ça et me dire que je serais loin d'elle, la laissant au autre garçon me faisait bouillir de l'intérieur.
Nous restâmes encore quelque temps dans cette position avant qu'elle vienne se blottir dans mes bras.
Tu m'as littéralement rendu niais Clarisse Smith.
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--PDV DE RILEY.--
Cela faisait maintenant 1mois que j'étais rentré en Australie, Clarisse et moi avions décider d'arrêter notre relation la trouvant bien trop compliquer vue la distance entre nous, on était contraint à s'oublier malgré les merveilleux petit moment qu'on avait passer ensemble.
Ma vie avait repris peux à peux, j'avais réussis à la sortir de ma tête et était prêts à passer à autre chose, j'étais heureux de retrouver le "vrai" moi, le Riley arrogant, coureur de jupon et très sûr de lui.
Mon père avais était muté à Chicago donc nous étions obliger de déménager, cela ne me déranger pas tant que ça, mise à part pour mes potes qui restait en Australie.
J'allais donc rentré en terminal dans un autre lycée, quoi de mieux que de voir de nouvelle tête et par la j'entendais des filles bien évidement.
Ma mère me sortit vite de mes penser en me criant pour que je descende les dernier carton de vêtement ou de babiole que j'aimerais emporter, car oui nous ne prenions pas les meubles étant d'une famille assez aisée, même un peux plus qu'aisée ma Mére avait décidé de tout racheter l'as bas, la maison devais déjà être meublé à cette instant même à mon avis n'attendant plus que notre arrivé.
