Premier pas. Pdv Mélyne

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Conscience: Bonjour à vous! Aujourd'hui, c'est moi qui va raconter l'hist...

- Tais-toi!! Tu rêves trop!

Conscience: Steplait!!

- J'ai dis non!

Conscience: T'ai pas drôle!

Je coupa la conversation avec ma chère Françoise, pendant notre discussion je discutais avec Lucie, je ne vous dit pas comment c'est compliquer de prendre par à deux conversations en même temps.

Conscience: JE M'APPELLE...

- Françoise!

Ce qu'elle peut me taper sur le système celle-là! Tut tut tut, Françoise, n'essaye même pas de répondre!

- ... un nouveau élève dans notre classe?Demanda Lucie.

Hein? De quoi elle me parle? Je réponds, pour pas trop me mouillé:

- Oui...

Elle se tut pendant quelques minutes avant de lâcher:

- J'espère que cette année se déroulera bien mieux que la précédente...

Oh... Elle parle d'Oerelat. Elle a dû y penser toutes les vacances, de même pour moi.

- Ça serai bien mais j'ai un mauvais pressentiment... Répondis-je, franche.

Deux minutes, de silence...

Conscience: à croire que tu as chronométré.

- Chut!

Je disais, deux minutes de silence, avant que Lucie me murmure:

- Tu sais que l'on peut voir si quelqu'un dort ou pas.

Je la regarda avec un regard d'incompréhension, comme celui que je faisais à mes parents quand il m'expliquaient leurs problèmes de travaillent alors que j'avais que trois ans. Soudain, il me vint à l'esprit que l'info que Lucie allait peut-être m'être utile, je chuchota d'un souffle:

- Ah oui? Comment?

Elle me pointa Lenny du doigt, ce dernier était endormi sur deux place, ce qui laissait juste assez de place à Noah pour pouvoir dormir inconfortablement.

- Il faut observer sa respiration, là je peux te dire que Lenny ne dort pas. Me confie-t-elle, avant de s'adresser à notre ami. C'est pas bien d'écouter les conversations.

Cet idiot ouvrit les yeux avec un sourire bêta affiché sur son visage, je ne put me retenir de rire face aux grimace, encore plus idiotes que sa tête.

Conscience: La maturité! Où es-tu?

- La maturité n'est pas là pour le moment veiller laisser un message après le signal sonore, une fois l'enregistrement terminé vous pouvez raccrocher... Biiiip.

Conscience: J'aimerai que tu reviennes au plus vite, Mélyne bat le plus haut niveau de débilité sans toi. *raccroche*

Je devins encore plus hilare face à la bêtise de ma chère Françoise. Soudain une chouette, que je venait d'apercevoir, se transforma en directeur, précisément le directeur de Chufseni.

- Monsieur Lenny! Vous n'êtes pas ici pour faire des grimaces! Tandis que vous, Mademoiselle Lucie j'aimerai que vous réveillez Monsieur Noah, s'il vous plait.

Lenny et Lucie obéirent. Noah se réveilla, de mauvais poil je pense car il lança au directeur:

- Le directeur! Super! Mon cauchemar en réalité!

L'interpellé ignora notre ami.

- Vous vous rappelez de ce qui c'est passé l'année dernière.
- Comment ne pas oublier... Rétorque l'ours que l'on venait de réveiller de son hibernation.
- Je n'ai pas demandé votre avis! Bon, passons... La sécurité a été renforcé, maintenant vous n'aurez plus qu'un cours: "Savoir se défendre".

Pincez-moi je rêve! J'allai questionné notre directeur mais il s'était envolé.

Conscience: J'aimerai te pincer, mais je ne peux pas. Dommage.

- Ils n'ont pas le droit d'enlever les cours d'éducation! S'exclama Lucie.
- Moi ça me dérange pas... Dit Noah.
Elle lui lança des éclairs, avec ses yeux. Je ne sais pas si ça marche vraiment.

- Il n'ont pas le droit... Murmura-t-elle.
- Eux, non, mais le gouvernement, si.  Renchérit-il.

Silence. Personnes ne parla. Nous arrivons à la cour principal, son sol est protégé par des lasers rouges. Une ombre, qui devait Madame FECEL je présume, frappa dans ses mains. Soudain, comme par magie, la protection disparu.

Conscience: Tu oublies que tout ce passe par magie! Comment pouvez-vous vous transformer sinon?

- Mmh... Je ne sais pas mais il y a quelque chose de logique!

Conscience: Mélyne, ne joue pas les scientifiques, ça va se terminer mal.

La professeur nous salua, et nous emmena dans une pièce. Elle nous expliqua des trucs mais je me perdu dans le flot de mes pensées. Je remis les pieds sur terre que quand j'aperçus la porte de notre chambre.

Le tatouage IIOù les histoires vivent. Découvrez maintenant