Chapitre 17: Hôpital et confessions

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La première fois que j'ai été dans un hôpital c'était le jour de mes cinq ans. On était réuni avec toute ma famille dans le jardin qui se trouvait devant notre villa. J'étais heureuse. Ma sœur venait de décrocher son premier contrat. Elle était ravie et je peux vous assurer que j'étais ravi pour elle. Mais tout à coup, j'ai commencé à avoir mal à la poitrine. Ça me brûlé, j'avais envie de hurler. Mais à la place, j'ai commencé à vomir. Mon vomi se trouvait être du sang. Là j'ai commencé à hurler, j'avais peur, ma poitrine me brûler de plus en plus. Pour la première fois de ma vie j'ai vu mon père paniqué. Ma mère a saisi son téléphone est à composer le numéro des urgences,après je me souviens du noir. J'entendais les bruits autour de moi mais je ne pouvais ni bouger, ni parlé. Et je l'ai entendu, c'était une voix qui venait de ma tête. Une voix enfantine,c'était ma voix. Elle me parler, elle me disait que tout irait bien, que je n'avais pas à m'inquiéter. Qu'elle s'occupait de tout. Je l'ai écouté. J'ai fais taire les voix autour de moi, et je me suis endormie. Je me suis réveillé quatre jours plus tard sur un lit d'hôpital. Des fils me reliaient à des machines. La première chose que j'ai vu en ouvrant les yeux, c'était mes parents. Ils  me souriaient. Mais je savais qu'il aller me parler. Me dire quelque chose d'important. Ce jour là ils m'ont annonçaient que j'étais malade.  Une maladie orpheline, tellement rare que la probabilité de l'attraper et de 1 sur 50 000. Cette maladie n'avait ni nom, ni remède. Juste des ralentisseurs. Qui pourrait me faire vivre plus longtemps, 25 ans au minimum. A cinq j'ai appris que j'allais mourir. Comme tout le monde. Mes parents ont dus m'expliquer comment se déroulerais ma mort. J'allais vomir du sang, mes organes me brûlerait. J'aurais froid, j'aurais chaud. Ma mère a commencé à pleurer. Mon père lui aussi pleurait. Et moi je l'ai entendu la voix. Elle me disait que j'avais été stupide de la croire. Que j'allais mourir. Seule. Et bientôt. Alors moi aussi j'ai pleurer, j'ai hurlé. Ma mère m'as promis de me guérir. Mais puis je seulement vivre assez longtemps pour sa? Aurais je le temps? À partir de ce jour je fus traîné de médecin a médecin. Je devais prendre 3 cachets par jour à des heures bien précise pour bloquer Aménia.

Alors quand je me suis réveiller, sur un lit d'hôpital 11 ans plus tard, je peux vous assurez que j'étais énervé. Comment j'ai pus oublier de pendre mes cachets? Maman vas m'engeuler. Quand je remarque que je ne suis pas toute seule dans la pièce, je troune la tête vers Docteur Halls. Elle me regarde d'un œil noir par dessus ces lunettes.
-Lia. Que t'ai je dit à propos de tes cachets?
-Je dois en prendre 1 toute les huit heures, lui répondis-je automatiquement.
-Alors expliqué moi la raison de ta présence ici?
-Et ben...
Docteur Halls soupire et mes ces mains dans les poches de sa blouse blanche.
-J'ai appelé chez toi, ta sœur viens te chercher. Aménia était entrain de geler ton sang, je t'ai injecter le cachet. Le prochain cachet tu devras le prendre à 23h00.
Je hoche la tête. Clara vient me chercher. Je ne peux m'empêcher de sourire.
-Lia fait plus attention à toi.
Docteur Halls s'éclipse.
J'observe ma tenue, je suis toujours en survêtement. Mon débardeur me colle à la peau. Et il est tâché de sang. Génial, manquez plus que sa. Je me lève délicatement du lit. Je me dirige vers l'accueil. Je connais cette hôpital comme ma poche. Je connais tout les hôpitaux de Californie comme ma poche. Mais celui ci est spécial, quand j'avais sept ans je jouais à cache cache avec les infirmières. Paula gagnait toujours. Je me dirige vers l'ascenseur le plus proche. Une fois au rez de chaussé. Je remarque Clara. Elle est assise sur une chaise. Elle semble en colère. Elle m'aperçoit, elle marche vers moi. Puis elle me sert dans ses bras.
-Je te déteste, tu m'as tellement fait peur.
Alors là je m'y attendais clairement pas. Clara qui me fait un câlin. J'en reste sans voix.
-Mais tu pus, elle me renifle, Lia tu vas prendre une douche. Et...
Elle me regarde de haut en bas.
-Ne me dis pas que tu es parti comme sa au lycée... Non ne me dis rien, je ne veux même pas savoir. Prépare toi bien.
-Me préparer pourquoi?
Elle me lance un sourire moqueur.
-Les parents, et Noah. Sont carrément énervé. Je peut t'assurer que tu peux avoir peur.
-Mais c'est pas de ma faute... Enfin si... Mais voila quoi, j'ai juste oublier de prendre de médicaments.
Clara me regarde énervé. On dirait que ces yeux lance des éclairs.
-Sache que ces médicaments te maintienne en vie. Alors tu seras mignonne, et tu n'oublieras plus de les prendre. Compris?
-Compris.
Elle me saisit le bras et m'entraîne vers le parking.

Une fois que sa voiture est ouverte, Clara saisit un sac poubelle qui se trouvait dans le coffre et l'enfile sur le siège passager. Je la regarde de travers.
-Quoi? Tu as beau être ma sœur que j'aime, avec tout le sang que tu as sur toi tu vas faire des tâches sur le siège.
-Le sang à séché ma chère Clara.
-Vaut mieux prévenir que guérir.
Je lève les yeux au ciel et pénètre dans l'habitacle. Je décide de mettre la radio. Une fois que Clara est rentré dans la voiture, elle me fixe, je la fixe, elle me fixe et me souris.
-Tu sais Lia, je sais que je peut être vache avec toi mais... J'ai peur.
Peur? Mais de quoi à t'elle peur?
-J'ai peur de m'attacher à toi et de te perdre. Tu sais que la première fois que t'a maladie c'est déclaré. J'ai eu peur, peur pour toi, peur de toi,
On sort du parking de l'hôpital. Et on se dirige vers l'extérieur de la ville.
-Pourquoi de moi?
-Et bien tu sais que quand on était petite toi et moi on était proche. Ou bien tu ne dois plus t'en souvenir.
Elle avait raison je ne m'en souvenais plus.
-Le jour de tes cinq ans j'ai eu peur de toi car tu craché du sang tellement de sang. On aurait dit un monstre.
-Sympa...
-J'étais une gamine je croyais au montre, alors quand je t'ai vus t'évanouir  avec tout ce sont autour de toi, J'j'ai eu peur, peur du monstre.
-Mais...Je n'étais pas au monstre, j'étais juste moi.Je ne comprends pas, pourquoi maintenant tu me souris,tu me fais des câlins, je trouve ça bizarre alors que pendant toutes ces années tu ne faisais que m'éloigner. Et là tu viens de m'avouer pourquoi tu me détester, pourquoi tu me regarder de haut, pourquoi tu ne M'accepter pas tel que j'étais... Tel que je suis.
-On n'est arrivé. Descends.
Bon, je crois qu'on a fini notre discussion. Je ne la comprends pas, Elle décide de me parler de me dire ce qu'elle a sur le cœur et maintenant elle se referme. Ça me rend triste, mais ça m'énerve aussi. Je sors de la voiture puis claque la porte.Noah et Clara adore leur voiture. J'espère que ça lui fera les pieds, hélas je les aperçois. Mon père,ma mère, et mon frère. Je sent que ça va être ma fête.

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