Devant une mer blanche et légère
Appuyé sur les rochers
Avec un paysage éphémère
Je regardais les îles isoléesAu loin la plaine attendait
Recouverte par la légèreté
Encerclée de Monts effacés
La nuit, le jour, la libertéPensif, j'accompagnais le vent
En lui soufflant mes pensées
Certaines suivant son mouvement
D'autres si contrastéesDevant ce paysage changeant
Mon esprit tourmenté
Pleurait évidemment
Et livrait bataille dans l'éternitéDois-je te laisser partir ?
Comme le vent s'en va
Ou bien te retenir ?
Comme la pierre qui reste làTant de réflexion
Je suis si indécis
Mais au fond à quoi bon ?
Tu es déjà partie.