Partie 3

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Le lendemain matin, au petit déjeuner , Pansy n'arrête pas de faire des critiques, et des réflexions à Mona, qui l'ignore royalement, cela fait maintenant dix bonnes minutes que la brune n'arrête pas de l'ennuyer et de rire bêtement avec ses copines, elle continue, mais un Drago exasperer et visiblement en colère lui lance alors :

- Tu veux bien te taire ? Je n'entends même plus ma voix avec ton blabla permanent. Je croyais que t'avais appuyée sur le bouton arrêt de ton éternelle tendance à être une rabat-joie.

Pansy avait l'habitude des sautes d'humeur de celui dont elle est amoureuse, mais en général, il l'a laisse tranquille lorsqu'elle s'acharne sur quelqu'un, jamais il n'avait pris la défense de qui que ce soit . Alors, sois, elle l'agaçait vraiment , sois, il défendait la nouvelle, et la deuxième option était impensable pour la jeune fille.

- Qu'est-ce qui t'arrive ? Je pensais, que sa roulée entre nous? 

- Ouais mais je me suis rendu compte que tu es pleine de névrose et d'incertitude, de rêve et d'espoir, en faite, tu n' es qu'un paramètre incontrôlable dont je n'ai pas besoin.  

Le regard froid et perçant de Drago croise celui de Mona, cette dernière lui fait un léger sourire ainsi qu'un signe de tête pour le remercier, il lui répond d'un sourire presque imperceptible, sauf pour Pansy qui a tout vu de leurs petit jeu.

La jeune fille qui a fini de manger quitte la grande salle, elle se dirige vers la salle de cours, lorsqu'elle entend derrière elle :

- Drago est à moi, ne t'avise pas de te mettre en lui et moi.

Elle se retourne et voit Pansy, le poing serrer, la machoir contracter.

- Je me fiche de ce qui se passe entre vous .

Mona s'apprête à repartir lorsque la petite brune lui prend le bras, elle le sert, et la pousse contre le mur.

- Écoute moi bien petasse, il est à moi.

La jeune fille aux cheveux presque blancs, s'enlève de son emprise, elle la regarde de haut en bas avant de lui annoncer :

- J'avais compris la première fois. Elle la fixe froidement avant d'ajouter :

- T'es au courant, qu'aux vues, du peu de considération qu'il a pour toi, la seule chose qui l'intéresse, c'est ce qui se trouve sous ton uniforme.

Mona, la laisse plantée au milieu du couloir, la bouche entre ouverte.  Une fois, ça journée de cours terminer, Mona se rend à la volière, elle à prit l'habitude de se rendre le bas, pour être tranquille. Sur place, elle se rend compte que l'endroit et déjà pris par le prince de serpentard. Lorsque le garçon se rend compte de sa présence, Mona lui sourit chaleureusement, s'avance vers lui, souhaitant le remercier une nouvelle fois d'être venu à son secours, mais , elle se fait prendre de court par le blondinet qui lui lance d'un ton amère :

- T'emballes pas, je n'ai pas seulement pris ta défense !

- Pas seulement, mais tu l'as prise quand même. Annonçant la jeune fille le sourire aux lèvres.

- Si elle ne me désespère pas à ce point, je t'aurai, laissez-te débrouiller toute seule, d'ailleurs, pour une nana qui est censé avoir du répondant, je te trouve pitoyable face à Pansy, on dirait un petit chiot abattu, tu ferais presque pitié.

- Presque pitié, ouah, ... Pansy et, elle et exaspérante, et infatigable, je suis persuadée qu'elle ne comprend pas le sens d'au moins l'a moitié des mots qui sortent de sa bouche, et je ne veux pas perdre, ni mon temps, ni mon énergie avec une pétasse qui pense qu'un décolleté plongeant et quelques vacheries suffis à camoufler son manque de confiance en elle.  

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