11

1.1K 34 3
                                    

1 heure passé

Je rentre chez moi accompagnée de ma meilleure amie. Passant à travers la porte d'entrée on dépose toutes deux nos sac de cours, nos chaussures, puis nos vestes, aux portes mentaux accroché au mur entre la fenêtre et la porte d'entrée.

Elle prend mon ordinateur qui est posé sur la table basse du salon et monte dans ma chambre, avant de la suivre je vais chercher quelques sodas dans le réfrigérateur pour nous. Je monte les marches jusqu'à ma chambre, la première porte à droite, j'ouvre celle-ci et vois phoebe (ma meilleure amie) avachie sur mon lit avec mon ordinateur posé sur ses cuisses. J'en rigole, elle me regarde est descend ses yeux sur les sodas que je tiens dans mes mains.

- Tu en veux ? Dit-je avec un grand sourire.

Elle ne me répond rien mais se lève de mon lit et vient devant moi pour me déposer un baiser sur le nez et prend l'une des deux bouteilles.

- Merci mademoiselle. Me dit-elle en rejoignant le lit sur lequel je compte m'installer de suite.

Son regard suspect et interrogateurs pouvait tout dire.

-Quoi? Dis-je suivi d'un regard soupçonneux les yeux grand ouvert,

Phoebe tourne l'ordinateur devant moi pour me montrer le statu Facebook de ma professeur.
- Je l'ai trouvé ta demoiselle en détresse.

- Arrête veux-tu oui. Oui dis-je suivi d'une tape sur l'épaule.

Une heure après, Phoebe était déjà partie chez elle car il se faisait tard, je tourne en rond depuis une bonne dizaine de minutes maintenant, ce qui me donne le vertige à force. J'entrelace mes mains puis dépose mon front dessus. Les questions me tourmentes, je lui envoie un message ou ? Non pas de ou je la contacte c'est le meilleure moyen, je prend mon téléphone et je vais sur messenger, mmm alors voyons voir... Ah! Enfin je l'ai trouvé, Camélia Mitchell, j'aime beaucoup son nom et très jolies photos. Bref je lui envoie un message.

" Bonsoir, désolée de vous déranger mais j'ai trouvé votre carte pour accéder au lycée dehors alors je pensais vous la ramener ce soir ce qui serais plus simple non? Au revoir naya."

Quelques minutes après je reçois un message d'elle.

" Oh mon dieu ! Vous l'avez ? Vraiment? J'étais morte d'inquiétude pour aller travailler demain ! Oui je veux bien que vous veniez me la rendre, mon adresse: 34 avenue du centre bourg. "

Je n'y crois pas mes yeux, je vais pouvoir l'avoir près de moi. Ses yeux, sa bouche, son souffle chaud. Je me dépêche donc de me préparer pour partir, par chance elle habite à deux rues de chez moi (ce qui n'est pas long à pied) je sors et ferme la porte au passage tenant entre mes doigts ma carte de Camelia.
Après une bonne marche j'arrive enfin chez elle, j'entre dans la cour puis je me présente à sa porte d'entrée blanche je sonne puis j'entend des pas arriver vers celle-ci, la porte s'ouvre sur la 8eme merveille du monde, son sourire qui enchante mon âme, ses yeux qui me font fondre, son corps qui me fait bouillire de l'intérieur.

- et bien ! Ne reste pas la entre tu seras mieux à l'intérieur.

J'entre en découvrant sa grande maison classique de toutes. J'aime beaucoup la décoration suivie des ameublements. Elle me demande si je veux voir quelque chose mais je lui répond que non, alors par la suite je lui tend sa carte qu'elle récupèreen effleurent ma peau ce qui me procura un millier de frissons dans l'estomac.

- il faut que je parte, lui dis-je en reculant spontanément.

-non reste naya s'il te plait. J'aime bien t'as présence.

Je répond oui et suis ses ordres, elle me demande ainsi de m'asseoir à côté D'elle dans son salon de jardin. L'une à côté de l'autre, je la regarde puis detourne mon regard je sais que par la suite elle me fixe aussi, la vue des arbres en face de moi me suffie, je sens quelque chose de chaud qui frôle ma main gauche, je sens les doigts de ma professeur entre les miens. Cette sensation de bonheur et tellement bien, j'hésite à la regarder. Mais c'est elle qui prend les devants.

-Ça fait un moment que j'attendais cela, être en t'a présence. Me dit-elle en se rapprochant un peu plus de moi.

- je.. Je pense que.. moi aussi.. 

Je ne sais si c'est elle ou moi qui ai rapprocher ma tête de la sienne ou l'inverse mais nos deux visages ne sont qu'à quelques centimètre de l'un et de l'autre. Je peux sentir son souffle doux qui vient se poser sur mes levres. L'envie de l'embrasser me démange de plus en plus. Mais par miracle c'est elle qui décide de briser les quelques centimètres qui nous séparer. Ses lèvres  douces me procure un milliard de frisson, ses mains qui glisse dans mes cheveux, ma mains sur sa cuisse suivie de l'autre sur sa joue, mais elle se recule en me demandant pardon.

•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••
Oups, la suite plus tard 😋

 



Un Jour Peut Être (Raven'sWood)(en Modification)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant