Far Too Young To Die

Tu vois la pluie tomber devant toi et tu ne peux t'empêcher de penser à lui. Tu ne veux pas passer pour une fille niaise qui glousse à chaque fois qu'un groupe de garçons passe et poutant.... Pourtant tu ne peux t'empêcher de le regarder, de l'observer dès que tu en as l'occasion.

Tu ne veux pas t'identifier à toutes ces filles que tu trouves fausses, tu penses être différente, et tu l'es crois moi, mais dans le bon sens du terme, si il peut réellement avoir un bon ou mauvais sens. Tu n'es pas différente comme les autres l'affirment, ces propos que tu entends tous les jours, non tu n'es pas différente comme eux l'affirment. Tu n'es pas comme eux car tu as compris qu'une personne ne valait pas mieux qu'une autre, tu as compris que ce ne sont les pensées des autres qui te définissent mais ta propre pensée. Toi, tu as compris, qu'au fond, on est tous différents les uns des autres grâce à nos actions et nos choix.

Tu es différente des autres par tes choix et ton caractère déterminé et fort. Tu pense être faible et ne pas valoir mieux que les autres, tu essayes de ne pas écouter les critiques et pourtant.... Pourtant tu n'es pas imperméable à tout ce qui peut se dire. Tu essayes de passer au-dessus de ça, mais rien n'y fait, cela te blesse plus que tu ne le pense.

Tu es bisexuelle et tu n'ose plus le dire depuis la réaction stupide d'un idiot. Tu n'as plus confiance en toi et pourtant.... Pourtant j'essaye de t'aider comme je le peux, mais rien n'y fait, nous sommes coincés dans ce cercle vicieux où tu te te fais du mal en pensant que tout s'effacera, que toutes les critiques glisserons comme le sang le fait sur ta peau à cet instant. Mais rien n'y fait. Tu ne peux t'empêcher d'y penser alors tu intensifies tes mouvements. Nous essayons de te raisonner, mais tu reste en boule contre le mur en regardant la pluie qui ne cesse te tomber. Tu commences à hurler dès que tu nous entends, pourtant.... Pourtant nous ne voulons que ton bien et uniquement ton bien, laisse nous t'aider pour une fois...

Notre existence, nous l'a tenons de toi, nous ne pouvons vivre sans toi... ne pars pas, pas maintenant, pense au futur, à lui. Mais tu ne m'écoutes pas, tu continues, tes larmes se mêlant à ton sang. Je finis pas me taire en comprenant que tu ne t'arrêteras pas avant la fin. Tu avais pris ta décision, je ne voulais pas le croire, je pense que je suis la plus attachée à toi, mais à quoi bon?

Tes mains retombent le long de ton corps, tous tes membres se détendent.

Tu l'as fait.

Tu nous as tous libéré à cause de quelques mots prononcés par des gens apeurés de ta différence, et pourtant....

Pourtant, elle faisait ta force, notre force...

Je n'ai pas du tout relu ce texte donc sorry pour les fautes. Laissez votre avis pour que je puisse m'améliorer.