Lundi matin après mètre remis de mon malaise avoir expliqué a ma mère tout ce qu'il c'est passé la nuit du vendredi 13 novembre 1945 et une aprem chez le psychologue je rentrais de l'ecole a 16 h 30 quand quelque'un a frappé tout naturellement je répond d'entré c'est alors que Léandre franchi le seuil de la porte je fi tombé ma tartine de confiture a la fraise, puis il baissa la tête et commença a me parler me raconter sa vie quand j'en eu marre et cria "Ferme là! J'en ai rien à fourre, de toi, de ta vie ! " puis je couru dans ma chambre. Ma mère arriva en courant de la cave et le vie dans la cuisine....elles lui dit ces mots et le tua du regard "Léandre je t'aimais tu ma brisée le cœur et pars dessus tout ma fille...tu...tu l'as....NON je ne dirais rien tu ne mérite pas d'entendre un mot de plus!!!!! Dégage je ne veux plus jamais te voir tu l'a empêché de s'épanouir de vivre sa vie!!! Elle ne ta rien fait pourquoi ? Hein pourquoi t'a fais ça ? A JAMAIS !" Après ces parole le martir parti et Revin le lendemain mais ma mère cria encore plus fort tout comme le sur lendemain et Jeudi aussi et tout les jour pendant un ans juste a ce jour ou avant que ma mère ne prenne la paroles je lui "dégage t'a pas compris et si c'est pour t'exuser c'est trop tard" Et je lui mit une claque si forte, si sincère quelle resonat comme une libération. Un hiver bien rude et émotionnelle dans notre noble petite maison des alpes.
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Je me vengerais
RandomIl étais une foi la haine la vengeance est un plat qui se mange froid