MILLIARDAIRE.

III

Cette nuit d'hiver, il faisait vraiment froid, Nelly pleurait à flot a sa fenêtre, cigarette à la main a seulement 14 ans, 7 ans après la mort de sa mère. Elle s'était enfermée dans sa chambre pour pleurer tranquillement.

Toc Toc Toc - C'est Giulia! Ouvres!

Giulia était sa meilleure amie durant son adolescence, elle écrasa la cigarette puis ouvrit la porte à son amie. Suite à ça, elle referma de nouveau la porte et alluma une autre cigarette, mais cette fois ci, elle ravala ses larmes.

Giulia pris place près de Nelly, elle l'a regardaient avec peine. Nelly avait les yeux gonflés et rouge, la lèvre inférieure tremblante, ainsi que ses mains, de liquide coulaient de son son nez, ça se flairait, elle avait pleuré, beaucoup pleuré.

Giulia — Qu'est-ce que t'as?

— Je pense à la dernière image que j'ai de ma mère, une femme adorable et aimante qui est parti chercher une orange sur la route mais qui en est morte, tuée par un salaud.

Giulia commença à caresser le dos de Nelly vivement pour la réconforter.

Giulia — Ta mère t'aimait, aujourd'hui c'est tout ce qui compte.

— Elle était heureuse, il m'a rendu si triste, il m'a tout retiré. si un jour je retrouve ce connard, je ferais de sa vie un enfer. Je le promet, je la vengerai.
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Je regardais attentivement Brandon, il paraissait si innocent. Son petit ronflement raisonnait dans la pièce,  j'étais accoudé et le regardais de très près pendant environ une dizaine de minute. Quand j'en ai eu marre de le regarder, je me levai pour me diriger vers la douche, j'avais  envie de fumer. Je fumais occasionnellement , pendant les soirées ou lorsque j'étais stressée nerveuse, triste, en colère, autrement dit quand j'avais des sentiments négatifs. Cette fois ci j'étais nerveuse, le fait de me retrouver dans la même pièce que mon ennemi, à moitié nue me stressais. Mon moment était venu.

Mon téléphone se mis à vibrer sur la table de chevet, j'accourus le prendre rapidement pour éviter de réveiller Brandon. Le nom de ma mère s'affichait, alors je décrochai et m'éloignait pour évitez l'écoute de la discussion.

— Bonjour maman, que me vaut ton appel?

Maman — Nelly, pourquoi tu ne rentre pas à la maison? Tu es à la maison 90% du temps, ton appartement c'est comme l'école t'y vas qu'une fois par mois! D'ailleurs quand est-ce que tu arrêtes ton truc sabbatique là? Nelly, reviens à la maison, et retourne à l'école. Enfin bref, ce n'était pas le but de mon appel. Où est ma veste noire que je t'ai prêté? J'en ai besoin. Accumula t'elle

— Maman je viens à peine de me réveiller.... On parlera de mon quotidien ce week end. Répondis-je tout doucement. Sinon ta veste noire est en dessous mon gilet jaune moutarde.

Maman— Très bien jeune fille. Passse une bonne journée, je t'aime.

— Moi aussi ma...

Avant même que je finisse sa phrase, je mère raccrocha.

Je poussai un petit cri de choc. Elle a du toupet.

Et alors que j'allais retourner dans la douche, la voix du criminel me fit sursauter.

Brandon— T'es trop belle.

Fils de pute, je sais.

— Oh! Merci beaucoup, tu m'as fait peur.

Brandon— Qu'est-ce que tu fais? Tu fais un peu beaucoup de bruit, ça m'empêche de dormir tranquillement.

A ce moment j'ai su qu'il fallait que je le remette en place, il parlais trop mal et j'ai horreur qu'on me manque de respect.