L'underground (Annulé...)

Chapitre 4 : Des liens d'amitiés.

Hey les gens ! Nous voilà au 4ème chapitre. J'essaye de faire des chapitres de plus de 1000 mots. Je n'ai rien de plus à dire à part de vous remercier de lire mes chapitres j'ai déjà en total 64 personnes qui ont lu mes chapitres et je suis très contente. Comme d'habitude j'essaye de faire le moins de fautes, mais vous savez c'est pas facile quand on est une quiche en français XD. Bref je vous dérange pas plus, bonne lecture !

Je me réveillai avec un mal de dos, leur canapé était inconfortable... Je me sentis un peu mieux. Je me frottai les yeux. Je n'entendis pas Papyrus arriver.

"HEY HUMAINE, BIEN DORMI ?"

"Oui j'ai bien dormi, ça m'a fait du bien."

Je ne voulus pas dire la vérité sur leur canapé inconfortable.

"JE SUIS CONTENT DE L'ENTENDRE. AS-TU FAIM ? LE GRAND PAPYRUS A FINI DE PRÉPARER SES SPAGHETTIS."

"Volontiers papyrus."

Papyrus partit du salon le sourire aux... dents. Sans apparut derrière moi et me fit sursauter. Je le regardai d'un air noir. Il haussa les épaules.

"tu veux venir manger quelque part ?"

"Je te remercie, mais papyrus ma préparé ses légendaires spaghettis."

Il rit discrètement et me fis un regard compatissant quand papyrus arriva avec une assiette de spaghettis à la sauce tomate.

"tu changeras vite d'avis quand tu auras goûté sa recette. son plat est plutôt indescriptible. fais moi signe quand tu voudras venir avec moi . BONE chance."

Il me fit un clin d'œil et partit en haut. Je ne compris pas toute suite.

"ET VOICI VOTRE COMMANDE !"

Je lui souris et pris l'assiette. Je remerciai Papyrus et regardai le plat, il tirait une drôle de tête. Les spaghettis étaient marron cramer et la sauce tomate avait encore des gros morceaux dedans.  Je fis une mine de dégoûté mais pour faire plaisir au grand squelette j'en pris une bouché. Un frisson traversa tout mon corps, le goût était... indescriptible. Papyrus me regarda avec des étoiles plein les yeux. Je reposai l'assiette sur mes cuisses.

"Papyrus. Qui ta appris à préparer ce plat ?"

"MON AMIE UNDYNE, POURQUOI ?"

"Elle fait toujours ce plat ? Je veux dire le résultat est toujours le même que le tien ?"

"OUI !"

"Écoute papyrus, ne te vexe pas. Mais ta nourriture est immangeable, du moins pour moi et peut être pour les humains. Mais si tu le veux je peux t'apprendre à préparer plus que des spaghettis et ils seront mangeables. Quand penses-tu ?"

J'attendis à ce qu'il se mette en colère et qu'il me déteste. Mais rien de tout cela, il eut l'air heureux ? Pourtant je lui est dis un peu méchamment.

"Heu... Ça va papyrus ?"

"JE SUIS HEUREUX HUMAINE !  JE VAIS RECEVOIR DES COURS AUTRES QUE DES SPAGHETTIS, C'EST LE PLUS BEAU JOUR DE MA VIE ! ON COMMENCE QUAND ?"

"Heu... Bah pas aujourd'hui car je me sens pas d'attaque, mais demain si tu veux ? On commencera par faire des spaghettis mangeable, d'accord ?"

"OUI ! JE TE REMERCIE HUMAINE !"

Il me fit un câlin et alla dans sa chambre. Sans apparut à côté de moi. Mon ventre gargouillait. J'eus faim.

"on va manger, gamine ?"

"J'arrive. Papyrus ! Je vais manger avec Sans. A tout à l'heure."

"BON APPÉTIT HUMAINE !"

Je sortis de la maison en compagnie de Sans. Il faisait froid dehors. Sans vit que je me frottait les bras et il me passa sa veste.

"Heu Sans. Tu ne risque pas d'attraper froid sans ta veste ?"

"je suis un squelette. vois-tu donc de la peau quelque part ? non. donc tu vois. ma veste me sers à rien, sauf à faire joli."

Mes joues prirent une teinte rouge. Sans doute dû au froid et la honte que je vins de me prendre. Sans rit discrètement. Nous passâmes devant quelques maisons et une bibliothèque avec une jolie faute d'orthographe sur la bannière. Nous arrivâmes devant un bar/restaurant appelé •Grillby's•, charmant. Nous rentrâmes tout les deux à l'intérieur. Il faisait déjà plus chaud. Je suivis Sans qui au passage, salua toutes les personnes qu'il voyait au bar. Je fis de même, mais avec un hochement de tête en guise de Bonjour. Sans s'assit sur un tabouret près du comptoir, je fis de même. Soudain un bruit de pet se fit entendre.

"fais attention. les coussins péteur sont partout."

Une bonne partie de salle rirent. Je pris le coussin dans mes mains, qui fut gentiment installé sous mes fesses.

"Ils sont partout tu dis ?"

Sans me regarda d'un air interrogateur. Je me jetai sur lui et mis le coussin sur sa figure pour que ça pète sur sa tronche. Je fus morte de rire. Sans ne put plus parler. Je m'arrêtai pour voir sa réaction et je pris peur en voyant ses yeux noir de vide. Je fus figée de peur. Soudain ses yeux reprirent leurs état d'origine.

"hey gamine, tu m'as fait peur en te lançant sur moi. j'avoue qu'on me l'avais jamais faite celle là. bien joué."

Il me fit un clin d'œil et demanda au barman fais de feu à manger. Il me demanda ce que je voulais entre un hamburger et des frites, je lui répondis des frites. Le barman partit vers la cuisine. Je vis Sans se brosser des cheveux imaginaire avec un peigne.

"quoi ? chacun ses habitudes."

Je ris face à cette déclaration. Nous mangeâmes tranquillement. Après manger nous rentrâmes à la maison. En rentrant je rendis à Sans sa veste, me remercia et commença à monter. Je partis à la cuisine pour rejoindre Papyrus quand soudain Sans m'attrapa le bras. Cette fois ci c'est moi qui le regardai d'un air interrogateur.

"hey gamine. je me suis bien amusé aujourd'hui, ça te dis de refaire ça une prochaine fois ?"

Je lui souris et hocha la tête positivement. Ses joues prirent une teinte bleu comme si il rougissait. C'était mignon. Il me lâcha et continua son chemin vers l'étage. Le sourire au lèvre je rejoignis papyrus dans la cuisine pour lui apprendre à faire de meilleurs plats.

"RE BONJOUR HUMAINE. ÇA NE DEVAIT PAS ATTENDRE DEMAIN LES COURS ?"

"Normalement oui, mais aujourd'hui je suis de bonne humeur."

Papyrus me sourit et nous commençâmes la recette basique. Des spaghettis à la sauce tomate. 
Le temps passa à une vitesse folle. En même temps j'eus l'impression d'enseigner à un gamin qui ne voulait rien écouter. Je dus lui apprendre toutes les cinq minutes les méthodes à suivre pour éviter de tout faire cramer.  Après avoir passé à peu près 2 heures avec lui, il eut enfin préparer un plat de spaghettis comestibles. Je fus fière de lui. Nous nous tapâmes dans les mains en guise de victoire ! J'eus enfin fini. Sans allait avoir l'honore de goûter le premier plat comestible de Papyrus. En clair ça allait être le cobaye. Hi hi.