Écris moi dans ton coeur TOME 2 [EN COURS DE CORRECTIONS]

les évadés de l'enfer

Nous avons plus rien à nous dire.
Plus de chemins a parcourir et j'ai cessée d'avancer.
Pour voir si c'était plus clair ailleurs, je suis allée voir la noirceur.
Il fesait si sombre à l'intérieur.
Les lumières se sont toutes éteintes.
Il fait si froid à l'intérieur.
Sur ma peau pâle, j'ai envie de fermé les yeux.
De rêver de mieux juste un peut.
Ouvre la porte vers le ciel la nuit, juste pour voir les étoiles encore plus près, c'est mieux.
Que l'obscurité est merveilleux.
Juste en ferment les yeux.
Elle est si seul à l'intérieur.
Sur ses murs noirs de terreurs.
La lune éclair les murs de l'extérieur.
Pendant des heures regardant les minutes qui se meurent.
Avez vous si froid à l'intérieur ?.
Mais nous sommes si bien à l'intérieur.
Quand apparaît subitement qu'elle que goûte blanches immaculé.
Elles sont tout droit tomber du ciel.
C'est la tristesse venu du ciel.
Et ses visages moqueurs évadée des enfers.
Revienne après dès mois passée à m'offrir l'enfer.
Un poison toxiques, envaye les murs sombre, et noir de la maison sans vie.
Il peut me faire de nouveau sombrer.
Et le vilain petit canards, ne trouvera t'il jamais, le bon chemin pour s'évader ?.
Le ciel qui commençai juste à s'éclaircir, devient sombre.
J'ai peur que le vent et l'orage, dans leur colère ne se réveille.
Et que le samu reste assie encore une fois dans leur impuissance.
Toujours la, sans un mots évidemment.
Continue à regarder me défendre avec indifférence.
Des mots qui blesse mais qui n'atteint pas tes sentiments.
Je n'est de sesse de me bâtre contre le feux pour ne pas finir en cendre.
Et d'essayer de me relevée de se combat qui n'a plus aucun sense. Sans savoir pour quoi cela continue.
Temps de fois j'aurais voulu m'en défaire.
Mais temps de fois encore, je reste prissonnière.