CHAPITRE2

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Max: Salut mon ami. Dit-il
Qu'est ce que je disais.
C'est un putain de leche cul, il me suit parce qu'il a peur d'etre attaquer par la bande de Thomas des fils à papa c'et a dire les populaires du lycée, et le capitaine de rugby de l'école quoi.
Bref c'est un garçon musculé, yeux marron, cheveux brun , il a tout pour plaire mais c'est un cretin doublé d'un idiot, je vais pas m'attarder sur lui..
Je regarde Max et soupir pour lui montré mon agacement des le matin il soule à parler .
Max: Tu savais que tu etais la personne la plus populaire du lycée, et je te previens que Thomas veut ta peau parce que t'a pris sa place. Il veut te massacré et le publié dans le journal du lycéeet comme t'es mon ami je me suis dit....

C'est a partir de ce moment que je n'ai pas écouté la suite de son discour. Alors cet pretencieux de Thomas veut se mesurer à moi, mdrr il ne sait pas que je l'attends de pied ferme,  je ne suis pas genre à me laisser marcher sur les pieds.
J'étais dans mon monde à moi et personne ne me dérange je suis solitaire et j'aime le silence.
Prof: Mademoiselle Bloods veuillez venir au tableau. Dit-il avec son eternelle sourir. Je croix que j'ai parlé vite.

Que je le deteste cet professeur de pacotille. Je deteste qu'on me dérange quand je suis comme ça et il le sait trés bien. Je fais mine de ne pas l'avoir entendu et je mets mes pieds sur la table ecouteurs aux oreilles. Il croyait que je ne l'avait pas entendu.
Prof: Ça se voit que ses parents ne l'ont pas bien eduqué. Dit il
C'est la phrase de trop, je me léve faisant tombé ma chaise causant le silence total dans la classe. Une haine que j'ai essayé de gardé refait surface. Je le regarde dans les yeux

Moi: Répetez un peu SVP. Dis je d'une voix calme qui fait froid dans le dos, moi meme je ne me suis pas reconnu .
Le prof ne voulant pas perdre son assurance devant les éleves répete encore plus fort encore.
Ça fait tilt dans ma tête, tout le monde attendait ma réaction tandis que je bouillonnais de l'interieur. Je sens mes yeux me piquais mais je refusais de les ouvrir. Parce que je ressentais un sentiment dont je n'est jamais connu et qui me fait du bien. J'entends des cris mais je suis dans un autre monde comme si on m'ordonnais de continuer. Les cris continu de plus belle , je sens la terre tremblé, les fenêtres explosés par l'air, la chaleur ettoufante, et mon sang circulé a une vitesse folle surement du a l'adrénaline c'est comme si je ne faisais q'un avec eux.
Toute la haine extrorisée j'ose ouvrir les yeux.

Je vois le professeur terrorisé, les éleves me regardant avec crainte meme Max a eu un moment de recul quand je me suis avancé.
Qu'est ce que j'ai encore fait, je me sens faible tout d'un coup, avec le peu de force qu'il me restre, je cours en dehors de la classe et me dirige vers les toilettes.
Je recroise l'autre mec, celui qui a l'aura de respect.
Je m'enferme dans les toilettes, me regardant dans le mirroir je vois mes yeux rouges et ma peau pale.
Je suis tellement choqué que le mirroir se brise. Comment j'ai pu faire ça, est ce que je devenai folle ou ce sont des halllucinations.
La porte claque, je me retourne et voie le blond.
Moi: Qu'est ce que tu me veux. Dis je en reculant. Ne t'approche pas je suis un monstre.

Mais il ne m'ecoute pas et continu d'avancer. Arrivée devant moi il me prend dans ses bras. En me touchant je reçoit des frissons comme si j'avais froid, il me prend dans ses bras mais je ne riposte pas tellement je suis choqué de me laisser faire ainsi. En temps normal je l'aurai repoussé mais c'est comme si j'etais à ma place dans ses bras musculé et une douce chaleur vient complet le tout.
Ayant repris mes esprits, je me décollé doucement de son torse que j'ai rempli de larmes et morves.
Le meme phenomene que tout a l'heure se reproduit quand je le regarde dans ses yeux bleues, on était dans notre bulle a nous, le vide dans mon coeur se recomble mais...

Le pouvoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant