L'après page blanche

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Je suis libre de ne plus croire , de voir en toi que le noir, le froid
D'une amourette réconfortante et étanche face à la mer de tristesse qui glace ton cœur.
Je ne veux plus mourir pour toi !
J'en ai trop fait sans y voir de mirage à l'arrivée.
Je ne meurs plus ! je cris la vie et elle m'en chante*
Arrêt de l'ivresse incontrôlable et de l'amertume cachée dans le vent d'une nouveauté qui est simplement ironisé  !
Oui je vis, je ne vois plus le froid ! Mon cœur se réchauffe et veut sourire de nouveau dans l'immensité de la joie de ne plus t'appartenir.
Adieu

* Mal orthographié exprès

Poème en vers libres et inverse du madrigal

Les Poèmes D'une Reine TristeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant