Étendu sur mon lit je pense a ce qui s'est passé. A ma chute...et a ce...rêve?
Il me semblait si réel...comme si tout c'était dérouler une seconde fois. J'ai cette atroce impression d'avoir eue une seconde chance pour effacer les gestes et les mots que j'ai tant regretter avoir dit...mais c'était comme si je l'ai avaient faite une seconde fois...
Je soupire et roule sur le dos.
J'étais épuiser,je venais juste de me réveiller d'un sommeil agiter...il n'y avait pas eu d'image...mais que des sons...des paroles...
J'étais rentrer de l'hôpital hier. Je me suis endormis non sans penser a la réaction des mec lorsque je leur ai demander de mentir...je ne m'attendais pas a une réaction si révolter de leur part...
Je me retourne sur le côté.
On m'a accorder deux jours sans école, mais ça ne m'enchantais pas trop. Plus vite j'y retournais, plus vite je retrouve les coupables et plus vite ça sera du passer et nous pourrons tous tourner la page.
Je me redresses sur mes coudes pour ensuite m'assoir au bord du lit.
Je soupir une seconde fois.
-Pourquoi c'est si calme, dis je a haute voix pour créer un bruit de fond.
Mais au lieux que sa aide a effacer l'effet de vide, ça ne fit que l'empirer et créer un genre de malaise chez moi.
Je lève les yeux et me crispe. Je tombai nez a nez avec ma robe de bal que je n'avais pas enfoui dans le fond de ma garde robe, mais bien placer juste devant la porte "au cas ou".
Putain! Au cas ou quoi? Que je voudrais la porter encore une fois! Je ne l'aimais même pas! On a beau me dire que j'étais belle, je détestais cette robe. Cette vision, rêve ou hallucination, m'importe ce que c'était, ma fait comprendre un truc...
Je bondis et l'arracha violemment de ma garde de robe. Je ne comprenais pas d'où me venait cette rage soudaine, mais cette robe allait écoper.
Je me précipitai en bas et me dirigea immédiatement dans la cuisine. J'étais seule. Tant mieux! Je n'avais pas besoin que qui que se soit, soit témoin de ma folie soudaine.
J'ouvris une armoire du haut et pris des allumettes, je me rendis alors dans la cours de derrière et jeta la robe au sol sans ménagement. Sans hésitation je mis feu a la robe. Je la regardai brûler sans regret, mais sans réconfort non plus.
Je trouvais qu'elle m'était trop de temps a brûler, alors je retournai chez moi et pris quelque feuille lignée et en déchira sur la robe.
Les flammes prirent du volumes, mais pas assez. Je retournai a l'intérieur et attrapa un bouteille d'alcool afin de l'asperger sur le tout. Rendu dehors J'ouvris la bouteille...
Je sentis une goute me tomber sur la main, ensuite sur l'épaule, la jambe et ainsi de suite. Je levai les yeux au ciel et constata qu'il pleuvait. Je refermai la bouteille d'alcool et entrai a l'intérieur.
Je serrais la bouteille dans ma main. Mes mains étaient moites.
Lorsque j'entrai, je remarquai une notes sur le frigos que j'avais sûrement manquer.
"Mon cœur, je dois aller au bureau, mais j'ai appeler ton ami pour qu'il envoie sa sœur veillez sur toi, Maman."
Au même moment la porte sonna. J'hésitai a aller ouvrir, je ne savais pas quelle tête j'avais. Avais je l'air d'une pyromane psychopathe qui s'en prenait a des robes sans défense.
Pff! Avec plaisir!
Après la troisième sonnerie, j'allai ouvrir.
-Zarra, fis doucement Mia.
