Shadows Isles

01

"Sofia, Sofia, Sofia, Sofia '' dit- ils.

- Non je ne peux l'effectuer.

'' Sofia, Sofia, Sofia, Sofia ''dit-ils

- De grâce ne m'y forcé pas.

'' Sofia, Sofia, Sofia, Sofia '' dit-ils

- Non Non on ne peut le dire à haute voix, sa présence est de surcroît.

'' Alors nous le dirons et toi tu en mourra sans une seule aide ''

- Sofia ? Que ce passe t-il ?

Elle ouvra les yeux avec un tel empressement, sur le regard stupéfait de sa soeur Avry.

- Non ! S'écrit la petite dernière de la famille Omber.

- Sofia de grâce il ne s'agit que de moi, dit avec tendresse l'ainé de cette dernière.

- Oh, grande soeur vous me prenez en évidence.

- Alors dite moi de quoi été vous entraîn de murmurer dans votre songe ?

- On ne peux en parler Avry. Ce n'était qu'un songe comme tout autres.

Cette jeune fille ne pouvait se le permettre de lui révéler la sombre vérité qui tormentait ces nuits.

- Un songe qui se répéte chaque soir soir ?

- Est ce donc un interrogatoire ? Répliqua Sofia.

- Bien-sûr que non, mais je m'inquiète fortement pour vôtre santé Sofia. Je me serai presque mise à proclamer les noms de tous les Saints pour vous réveiller

- Et il en est de soit de vous remercier, la cérémonie des Ombres se rapproche.

Elle observait les hautes colins noir de l'Île de Shadow, île que tous les habitants de cette ville redoutaient à cette période précise.

- Oui et ce jour funeste de même. Je ne serai dans la capacité d'expliquer ce phénomène troublant.

Crac' Tar'!! (onomatopées)

- C'est quoi ?

La jeune Avry se rapprocha de la vitre qui ornait la Chambre à couché de sa petite soeur.

- N'est point de crainte, ils doivent chargé les derniers missiles prévu pour l'entrée en guerre de la Nouvelle-Orléans.

- Donc nôtre oncle partira pour les hautes comtrées ?

Robert Robersone,oncle maternelle de Avry et Sofia été sans doute l'homme le plus attachant de tout la Louisiane. Son sens de la comédie lui a étés donner par son pauvre père, qui n'avait que de parole pour nourrir sa fierté et peu de richesse pour remplir son assiette. Et c'est à ce nette moment que ce dernier fut son apparition dans la pièce.

- Hélas ! Mais j'en suis part, dit oncle à ses deux nièces. Je ne suis pas là pour vous démoralisé de mon futur départ loin de celà, ma présence est plutôt rustre, dit il avec une élégance plus comique qu'il le devrait.

Ces deux dernières se mirent à ricané à l'égard des gesticulations effectué par leur oncle.

- Et que nous doit cette révérence mémorable très cher, s'exclama Avry avec gaieté.

- Je me présente avec respect pour vous annoncé une tragique nouvelle mes Dames, ce dernier venait de prendre une voix plus mélodrame que d'habitude.

Les deux filles était très perplexe. Ce dernier n'avait jamais été aussi sérieux depuis des années, de ce faite il ne pouvait que suscité l'attention de ces dernières.

- Oncle vous nous faîtes peur, pourquoi parlez-vous ainsi ?

Robert prit place sur la Banquette principal, il avait une mine si désagréable que même les nuages de pluie ne pourrait se comparer à lui

- Ne prenez point de crainte, mais un grand malheur vient de s'abattre sur nous.

- Qu'est ce donc mon oncle, dit Sofia.

- Le malheur qui a pour habitude de frappé nôtre ville à cette nette période de l'année, vient de frapper à notre porte mes nièces.

- Non... Je ne peux pas y croire... Il me restait encore un peu de temps avant qu'il ne puisse débuté...

- Que dit tu Sofia, dit Avry à l'attention des paroles prononcer par sa soeur.

- Les filles vôtre père vient de disparaître sur l'île, nous venons de retrouver sa dépouille sur le large de la rive.

- Non se ne peut être vrai, il ne peut nous laissé ainsi, non je n'y crois pas.

- J'en suis navré, mon coeurs est aussi triste que le vôtre, mais je ne serait quoi faire pour vous tenir réconfort. J'ai reçus ma lettre.

- Ton départ est prévu pour...

- Demain aux aurores Sofia, je ne serait présent au obsèque de vôtre père.

Elles deux petites filles étaient maintenant seul au monde, leur seul parent venait de rendre l'âme. Avry en tant qu'ainé de sa famille, elle se doit de tenir rigueur de tous les éventuels problèmes.

- Petite soeur ne pleure pas, car il te reste moi comme épaule.

Sofia ne pouvait se résigner à cette idée, son père était sa vie. Elle se sentais plus que coupable,elle savait ce qui lui arrivait si elle ne disait pas la son ''nom''.

- C'est de ma faute!!!

- Sofia ne prononce point de baliverne, ce n'est pas de ta faute, dit Avry sous l'oeil attentif de Robert.

- C'est de ma faute si il en est mort.

- Non Sofia, se n'est gère de ta faute. Il est mort par qu'il était ainsi.

- C'est de ma faute!!!

Sofia courra jusqu'à la porte, puis elle s'enferma dans l'armoire de la Chambre de leurs père.

- Sofia! Sofia! Sofia! De grâce ouvre cette porte!

- Avry laisse la faire son deuil...

''BOUM''

- Sofia ? Sofia !!!

À suivre...