Le rendez-vous chez l'assistante sociale avait pris une tournure des plus inattendues...
L'assistante froide était devenue en fait une vieille folle , elle avait enlevé Ada, tout en la menaçant ...sans que personne ne puisse rien dire ou faire
Paul : Ada ..ADA !!
Tant qu'il avait pu il avait couru derrière la voiture
Alice : Paul mon cœur
Elle le prit dans les bras et le serra fort
Paul : mais pourquoi elles sont parties
Alice : c'est rien mon bonhomme on va la retrouver
Alice se tourna vers son mari qui avait déjà son téléphone en main pour appeler ses collègues et signaler l'enlèvement
Dans la voiture, l'assistante avait changer de comportement elle était agressive et roulait vite
Ada : pourquoi vous faites ça ?
Assistante : tu es trop gênante
Ada : vous allez me tuer c'est ça
Assistante : tais-toi
La petite fille se mura dans le silence et pleurait en silence
Les kilomètres semblaient s'enchaîner sans aucunes issues pour Ada ...
Elle qui semblait avoir trouver un équilibre avec Alice et fred
... Au bureau de l'assistante sociale, les voitures de police s'étaient multipliées, les policiers étaient auprès de Fred et Alice ...
Policier : vous nous avez appeler
Fred : c'est pas trop tôt merde notre fille a été enlevée
Policier : vous en êtes sur
Fred : vous me prenez pour qui elle a été enlevé devant nos yeux...vous voyez son petit frère-là qui pleure
Policier : je me renseigne
Fred : mais faites votre boulot et retrouvez la merde
Policier : on va essayer de les localiser
Fred : suffit pas d'essayer
Les policiers en menaient pas large ils connaissaient Fred de réputation, ils savaient quel commandant il était ...
Il y avait énormément d'agitation dans la rue, les policiers recherchaient des témoins potentiels...
Alice et Paul eux étaient toujours dans leur coin effondrés Fred les avaient rejoints
Alice : pourquoi ça nous arrive à nous alors qu'on venait tout juste de retrouver notre vie
Fred : on va la retrouver je te le promets
Paul : et après elle pourra venir vivre avec nous
Fred : je te le promets mon Paulo...on va rentrer hein
Alice : non moi je reste là au cas où
Les minutes étaient interminables ...
Déjà 45 minutes qu'Ada avait disparu2h00 plus tard
A 200 km de Paris
Une voiture était écrasée contre un platane
Des traces de freinage prenaient toute la route
Les services de secours avaient été appeler pour un accident de la route
A l'arrivée de la police les pompiers soignaient les différents blessés
Policier (regardant une des voitures) : ce n'est pas la voiture rechercher
Policier 2 : aucune idée je demande au central
Policier 2 : oscar 45 pour central
Central : on te reçoit oscar45
Policier 2 : central pouvez-vous me donner l'immatriculation et le type de la voiture de l'alerte enlèvement
Central : Oscar45 la voiture rechercher est une Peugeot 308 immatriculer 755 ELG 75
Policier : oscar45 pour central la voiture rechercher est impliquer dans un AVP
Central : reçus oscar45 nous prévenons Paris
Une dizaine de minutes plus tard
Paris
Appartement Alice
Alice c'était refugiée dans sa chambre avec Paul
Le téléphone de Fred sonne
Fred : commandant Frederic Marquand j'écoute
Fred : d'accord comment va-t-elle
Fred : juste des égratignures ouf
Fred : merci a vous
Fred tournait en rond depuis l'appel de ces collègues du 45
Il était 22h00 quand la sonnette retentit
Fred ouvre à peine la porte qu'Ada était dans ces bras en pleurs
Fred : tout va bien ma puce ne pleure pas
Ada : j'ai eu si peur
Fred : c'est fini je te promets
Réveillée par le bruit Alice arrive dans l'entrée
Ada : aliceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
La soirée se finit dans la joie pour la famille pendant que l'assistante sociale était transférée au 36 pour une garde a vue
Le lendemain matin
Quelque part en régions parisienne
Une voiture arrive tout feux éteint devant un entrepôt avant de rentrer à l'intérieur
Tueuse : bon allez on reprends du service
8h30
Une fois dans l'entrepôt elle se dirigea vers le bureau pour se changer
Elle décida une fois de plus changer d'apparence
Pour le contrat du jour la tenue était plutôt fonctionnelle
Une tenue passe partout mais surtout adaptée à la situation du jour
Tueuse (regardant sur l'ordinateur) : bon alors Sabine Bosc actuellement en garde a vue au 36
Tueuse : espérons que ça ira
Tueuse (prenant une carte) : lieutenant Céline Martin ...en route ...à nous deux madame BoscLa tueuse se lève vérifie dans une glace le résultat avant de monter dans la 508 présente qui est en fait celle de Marianne Lambert avec d'autres plaques
9h30 Au 36
Du coté des cellules « Céline Martin » venait d'arriver, elle ne calcula personne et avancé déterminée
Elle se dirigea vers une cellule en particulier
Céline (tapant sur la grille) : Bosc debout
Bosc : ou vas-t-on ?
Céline : voir le juge et plus vite que ça j'ai pas que ça à faire
Mme Bosc se leva, la lieutenant était plutôt brute dans ses gestes, elle traine l'assistante jusqu'à la berline et la jeta presque avant de l'attachée à l'arrière
Elle monta ensuite à l'avant et mit le contact
Tueuse : prête pour votre dernier voyage madame Bosc
10h00
Planque de la tueuse
La tueuse venait d'arriver, elle arrêta la voiture, sortit du véhicule et ouvrit l'arrière du véhicule
Céline : Descend
Elle sort Mme Bosc assez brusquement de la berline
Bosc : on est ou la ?
Céline : avance
Bosc : ça veut dire quoi cette histoire
Céline : avance je veux rien entendre
Elles continuèrent à avancer la Bosc regardait autour d'elle terrifiée, Céline détacha la Bosc
Céline : une dernière parole avant la sentence ?
Sabine : vous êtes complètement folle
Céline : mauvaise réponse
La tueuse prend le câble du treuil mais lieu de l'attacher aux mains elle entoure le cou de Sabine Bosc
Silencieusement elle commence a faire monter le câble
Sabine (comprenant) : nonnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn
Céline (la regardant) : touchez à Ada était une erreur
Sabine : je n'ai pas eu le choix
Céline : on a toujours le choix
Sabine : il m'a forcé
Céline : qui
Sabine : le docteur Chahine laissez-moi sortir
Céline : vous rêvez la vous allez le rejoindre
Elle fit descendre de plus en plus le treuil
la Bosc pouvait voir son corps se rapprocher de l'eau
Sabine : nooonn
Céline : la condamnation est irrévocable
Le câble serrait de plus en plus
Sabine avait de plus en plus de mal à respirer, elle commençait à se débattre ...
La tueuse avait très envie de s'amuser alors elle relâcha la pression
La tueuse : qu'es ce qu'on s'amuse vous ne trouvez pas
Sabine : non...je veux rentrer chez moi
La tueuse : ah mais vous allez rentrer...mais dans un autre monde
Sabine : non...non...NOOOON...Pardon...pardon pour tout
La tueuse : le pardon ne suffit plus
D'un coup elle appuyait sur le bouton qui actionna la corde, la pression fut tellement forte qu'un crac se fit entendre
La nuque de Sabine Bosc venait de se briser
Doucement le corps rentre dans l'acide les pieds, les jambes, le buste, les bras et enfin la tête
La tueuse regarde le corps se disloquer ...on pouvait voir les bras les mains ou même les pieds s'arracher et devenir que poudre, la chair s'évaporait doucement dans l'eau puis les os...avant de disparaitre complètement dans l'acide ...
Tueuse : vous ne méritée que l'enfer...enlever une petite fille...vous n'avez que ce que vous méritez
Tueuse : bon allez soyez sage maintenant je n'ai plus envie de me salir les mains
Une trentaine de minutes plus tardLa tueuse ressort de l'entrepôt en voiture et disparait
En début d'après-midi au 36 quai des Orfèvres, un brigadier était venu chercher la suspecte pour qu'elle soit auditionner...
Il avait longer les cellules et quand il sortit la clefs pour faire sortir la suspecte, il remarqua que la cellule était vide
Brigadier : merde ! Laurent !
Laurent : ouais quoi
Brigadier : elle est ou madame Bosc ?
Laurent : bah elle a été déférée ce matin
Brigadier : quoi mais comment c'est possible elle n'a pas été interroger
Laurent : mais pourtant une certaine Céline Martin est venue pour l'emmener
Brigadier : merde mais quel con ... on va se faire démonter
Personne ne savait ou était Sabine Bosc puisqu'elle n'était jamais arrivée à une quelconque prison
Personne ne le savait encore mais le dossier Sabine Bosc finirait sur une autre pile de dossier affaire non classée...
Plus personne n'entendrait parler d'elle