"Si je mens, je vais en enfer" Alors pourquoi mentir ? Plus rien ne va : le boulot, la vie, mes études. Je suis débordée.
J'avais perdu un proche qui m'était cher. Ce qui est encore plus dévastateur, c'est que je le savais en bonne santé. Il est parti sans nous laisser le temps de lui dire ne serait-ce qu'un simple je t'aime.
J'ai perdu cette personne, qui m'a été une inspiration, qui m'a appris à m'assumer moi.. J'ai l'impression de perdre une grande partie de moi : je dirais même que c'est toute une partie de moi qui s'en est allée. J'entame tous les paquets de mouchoirs envahis par ma marée de larmes. Au fond de moi, j'ai mal.
Mais je fais comme si de rien était. En ce moment, je suis en job d'été. Peut-être ça va m'aider à me ressaisir ? Hum, non. Au contraire, l'ambiance s'empire : je ne supporte personne, et m'isole de plus en plus. J'ai pourtant décidé ne pas en parler, au contraire faire comme si de rien était. Mais, je pense que mon entourage voit que ça va mal.
Et je traîne de plus en plus dehors, pour me changer les esprits avant que le deuil épuisant s'amène. N'ayant pas le courage de voir les larmes de mes proches couler, je me force tout de même à rentrer pour les aider à surmonter cette épreuve.
On dit souvent qu'après cette épreuve, on oublie et fait avec.. Je te dirais surtout qu'on essaie de faire avec, mais on ne peut pas oublier un être cher qui nous laisse.J'avais été acceptée en ingénierie, un domaine qui m'attirait plus particulièrement, et en musique ! Pour moi l'occasion de vivre de ma passion et mon intérêt.
Mais le fait de perdre ce proche a été le facteur de mes échecs, mes dépressions, mon renfermement. Cette personne me manque affreusement. Si je me battais, c'était en premier lieu pour elle. Mais la voilà partie, sans moi.Je n'aime pas en parler, mais je n'avais à ce moment plus goût à rien. Je n'avais plus envie de rien : plus les jours passaient, plus je me demandais l'utilité de mes actions. J'étais complètement perdue. C'est ce qui m'a coûté d'importantes difficultés d'adaptation.
Dans cette histoire, je te raconte mes amis, ennemis, mon amour, mes coups de cœur, ma passion.. Je te raconte également mes joies, peines, déceptions.. Mais ce que je vais aussi te raconter, c'est le fait d'être forte et s'accrocher qu'importe la situation dans laquelle tu te trouves. Car elle te permet d'en apprendre et te relever.
Appelle-moi Andréa, 20 ans. Ma passion : découvrir, blogguer, manger, et la musique. Mon objectif ? C'est d'être libre et Indépendante. Tu vois ? Quand tu te lèves et te dis : je veux quelque chose ! Je prends un cahier, mes notes et planifie ce que je vais faire au moment que je souhaite. C'est ça, l'indépendance. Le fait de tout avoir par moi-même, sans m'accrocher à quelqu'un par intérêt. Je n'attends rien de personne. Rien, sauf du respect et de la valeur.
"Pensons oublions, car ainsi va la vie. Les êtres les plus chers nous quittent vite : le bonheur se noie dans le chagrin, et la vie emmène le deuil. Nul lieu, nul recoin sur cette Terre peut nous en être un refuge. Car, il faut la quitter. Partir, toujours partir : telle est la loi suprême".
[Mongali]*
*Pourquoi cette chanson étape ? Écrite par Max Mongali, il l'a donné au célèbre groupe de l'époque : Zaïko Langa Langa. La musique étant chantée en Lingala (langue parlée dans les 2 Congos), cette célèbre chanson nous donne un aspect nostalgique des choses avec ce magnifique paragraphe à la fin de la chanson (citée plus haut).
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Résiliente.
Non-FictionJ'étais à un moment de ma vie où plus rien n'allait comme il fallait. Entre les amours difficiles, et la scolarité imposante, je ne savais pas où j'en étais. Puis un jour, je me suis levée, et me suis dit "Pourquoi dépendre des autres ? Pourquoi dép...