Le hurlement des bêtes [Réécriture]

Chapitre 1

Sola observe le réveil du soleil d'un œil attentif. C'est sa dernière journée de vacance avant d'intégrer Fantasy School. Enfin, c'était sa dernière journée. Elle prend une grande respiration et retourne à l'intérieur de la petite maison bâti sur le flanc de la montagne. Elle et son père adoptif vivent peut-être dans un endroit peu luxurieux, mais ils sont heureux. C'est ce qui importe en général. Sola sait pertinemment que ça fait "cliché", mais c'est la réalité, elle est pauvre, mais heureuse. Cela fait bientôt 3 heures qu'elle est réveillée, beaucoup trop excité d'aller à Fantasy School, académie réputé pour le dressage de bêtes. Sola adore les bêtes, féline ou canine, ailé ou terrestre, même les aquatique ! Mais les bêtes qu'elle préfère sont les dragons. Il en existe de toutes sortes, mais cela reste des majestueuses et fières créatures à la peau faite d'écailles à l'air dur, mais pourtant si douce aux yeux de Sola. Elles sont certes, dangereuses, mais tellement noble. Son père lui lisait les contes de Rogua, une aventurière un peu farouche, mais tellement courageuse, affrontant et domptant ces si belles bêtes. Rien que d'y penser, Sola sourit.

Elle a entendu dire que pour tous les dresseurs de cette générations allaient recevoir leur première bête durant la première année de leur études pour célébré les vingt ans de la victoire contre Malgof, le tristement célèbre mage noirs des Marrais Brumeux. Une étudiante inconnue dans les archives de Fantasy School aurait vaincu le mage noir avec un dragon et plusieurs autres bêtes. À cette époque, les dragons étaient mal perçu, ils avaient la réputation de mangeur de moutons. Ils étaient sanguinaire et détestaient les humains, mais cette étudiante et ce dragon aurait instauré la première ère de l'amitié entre dragons et humains. La majorité des dresseurs souhaitent la rencontré, mais l'étudiante à soudaine disparut suite à l'affrontement contre Malgof.

Sola plisse légèrement les yeux en voyant l'état de sa chambre. Elle part tout le long de sa scolarisation dans la célèbre école, elle doit au moins terminer de tout ranger. Heureusement que la magie est là pour aider. Un fin sourire aux lèvres, l'apprentie dresseuse claque des doigts et toute la chambre se range d'un coup. Satisfaite, la brune se tourne avec l'intention de saluer son père, mais sursaute en trouvant juste devant elle son père adoptif. Il la regarde avec des yeux qui en disaient long. Elle baisse légèrement la tête et sourit maladroitement au seul homme de sa vie. Ce dernier lui pardonne rapidement, de toute façon, il ne peut pas vraiment lui en vouloir pour si peu, sinon il ne serait pas un bon père.

« -Fait bien attention à toi pendant tes études.

-Oui, ne t'inquiète pas ! Je ne suis plus une petite fille.

-Oui... »

Sola va partir pendant 5 ans. 5 ans sans voir son petit rayon de soleil, cela en fait beaucoup pour un homme qui a retrouvé sa raison de vivre grâce au sourire de cette charmante adolescente. Il y a de cela 15 ans, le père marchait sur une route sombre, sujet à une profonde dépression. Il venait de perdre sa femme. Elle était morte en accouchant. Même l'enfant n'a pas survécu. Il pensait au suicide, mais le gazouillis d'un enfant l'a attiré vers un arbre. Caché entre plusieurs buissons, une adorable enfant à la chevelure brune et aux grands yeux vert l'avait charmé. Son sourire lui a remonté le moral. Il savait. Il devait s'occuper d'elle. Et maintenant, 15 ans plus tard, sa fille adoptive de 16 ans allai le quitter. Pour faire ces études, ce qui est bien, mais ils allaient être séparé. Le père donne un grand câlin à sa fille avant de la laisser partir en dehors de la maison pour une dernière fois avant un long, très long moment. La voyant de dos, il hésite à la laissé partir pour de bon, mais de toute façon, il ne pourrait pas la retenir toute sa vie. Elle est farouche et courageuse.

Fantasy School est reconnaissable, puisque c'est l'un des plus grands bâtiments du centre de la capital et puis, avec les gigantesques banderoles suspendu magiquement, c'est dur de le rater. Regardant ceci avec intérêt, Sola à tout de même une impression de déjà-vu. Tentant de se souvenir, elle chasse simplement l'idée, ce doit être un tour de son subconscient lui aussi impressionné par cela. La brune se retrouve avec les autres premières années dans la vaste cour est. Le directeur fait un long et monotone discours comme Sola l'avait imaginé, mais l'atmosphère change complètement une fois que le discours fut terminé. Les anciens élèves de toutes les années arrivèrent de part et d'autre, guirlandes et feux d'artifices en mains. D'une certaine manière, ils rassurent les nouveaux très peu assuré en les mettant en confiance. Les anciens ont organisé beaucoup d'activité pour mettre à l'aise les jeunes, mais Sola n'y prend pas part, préférant visiter sa chambre où elle pourra sans doute croiser sa partenaire.

Regardant tous les numéros de chambre, Sola fut étonné de constaté que c'est sa chambre la seule avec la porte ouverte. Curieuse, elle passe sa tête par le cadre de porte, mais du la retiré immédiatement, car un livre volait dans sa direction. Une fois sûre que rien ne lui serait lancé, la brune entre dans la pièce et penche la tête en apercevant une fille aux longues boucles noires fouiller dans ces choses, à la recherche de quelque chose visiblement. Manifestant sa présence par un léger "huhum", la noire se tourne vers Sola avec un air suspicieux.

« -Je suis ta partenaire de chambre, Sola Fasther.

-Oh je vois. »

Sola reste perplexe devant l'impolitesse de l'adolescente. Elle semble pourtant douce et gentille au premier abord, à croire qu'il ne faut vraiment pas se fier aux apparences. La noire continu de fouiller par ci par là pour finalement trouver ce qu'elle cherchait : un livre. Elle s'assoit dans le fauteuil en face de Sola et pose le gros livre sur ses genoux.

« -Et toi, tu as un nom ? Finit par demander Sola.

-Oui, j'en ai un.

-Quel est-il ?

-Mimosa. »

Sola soupire. C'est insupportable comme caractère, mais elle imagine qu'elle peut faire avec. Puisque c'est l'ouverture des portes des nouveaux aujourd'hui, tous les étudiants ont quartiers libre, donc Sola en profite pour quitter l'insupportable humeur de Mimosa. Elle sort de la chambre au moment où un jeune homme à la chevelure blonde percute Sola. En train de tomber en direction du sol, elle s'étonne que le garçon la rattrape aisément. S'inclinant légèrement pour s'excuser, il part, mais la brune le retient. Se retournant avec un visage interroger, Sola elle-même se demande pourquoi elle l'a arrêté, mais elle a eu l'impression de le connaître le moment où il la contourner.

« -Huhum, désolé c'est assez dur de ce faire des amis, alors je voulais savoir ton nom ?

-Ludwing.

-H-Hum ?

-Je m'appelle Ludwing.

-Oh ! Enchanté Luwing, je suis Sola. »

Le blond fait un léger sourire à Sola avant de continuer sa route. Elle penche la tête, puis sens des mains sur ses épaules qui la font sursauter. Troublé, elle se tourne vers la cause de son trouble : un garçon aux cheveux noirs. Avec une expression confuse, le jeune homme retire ses mains en les levants, comme pour montrer son innocence.

« -Désolé... Je pensais te connaître.

-Ce n'est pas grave.

-Eh bien... Je m'appelle Thomas.

-Oh ! Enchanté Thomas, je m'appelle Sola.»

Le jeune homme sourit gentiment à la brune avant de la quitter avec un mouvement de main. La jeune fille fit alors comme promis sa visite de l'école avant de revenir dans la chambre. Le lendemain, ce serai le premier jour d'une longue série de cours très difficile ayant pour but de renforcer le mental et le physique du dresseur. Elle doit se reposer pour être fin prête. Après son repas et une rapide douche, Sola se couche dans son lit, ayant la sensation qu'elle pourrait affronter le monde entier.

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Bonjour ! Je suis terriblement désolé d'avoir disparu pendant un si long moment, mais vous savez, j'ai une vie à entretenir et surtout, Le hurlement des bêtes ne donnai plus grand chose dans mon esprit. Au moins je suis revenu avec un concept tout refait et avec de légère modifications qui, j'espère, resteront dans le thème original.