Une amitié entaillée

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Leurs corps sont brûlant de désir, l'un veux l'autre et inversement. Shiro se retrouve coupé avec la liaison qu'il y avait jusqu'à son cerveau, Ichigo à tout casser, ses caresses sont à mourir. Justement, le rouquin relève la tête pour jeter un coup d'œil à l'etat de l'Autre, et, satisfait, il se rend compte qu'il a réussi à renverser les rôles déjà bien prédéfinis entre eux. Il continue alors, toujours alimenté par un désir sans fin, mais cette fois ses mains passe sous le pantalon de Shiro pour aller redessiner ses fesses en les caressant et même en les pinçant ce qui a arraché un gémissement de surprise à Shiro qui pourtant se mordait la lèvre à la faire saigner, finalement, maintenant que c'est fait, il laisse s'echapper ses petits cris qui ne font qu'exiter d'avantage le dominant de la situation. Ils enlèvent tout deux leurs pantalons, et Ichigo constate que, comme lui, son partenaire est aussi à point, cependant, il veut faire durer le plaisir et donc s'amuse juste à caresser la masculinité de Shiro à travers le tissu qui semblerait pouvoir craquer à tout instants. Soudain, Shiro se relève et attrape la bouche du roux pour l'embrasser, ils s'echangent à nouveau un baiser passionné, même si ils sont fatigués de l'affluence de désir constant qui les submergent. Mais arrivé à un moment, Ichigo s'allonge, haletant, sur torse de l'Autre, la tension sexuelle est au maximum et pourtant il s'est allongé.
Shiro: Qu'est-ce qu'il t'arrive ?
Ichigo: J'ai réellement mal à la tête.
Shiro: Anh, mon pauvre Roi, il est malade.
À demi-nu toujours, Shiro prends Ichigo dans ses bras et lui caresse les cheveux, leurs corps sont moites mais l'etreinte n'en est pas pour le moins brutale.
Ichigo : C'est dingue, on dirait presque que tu étais au septième ciel...
Shiro détourne le regard et affiche néanmoins un sourire gêné, ce qui provoque un petit rire de la part d'Ichigo.
Ichigo: J'ai jamais osé me l'avouer... Mais maintenant c'est trop tard je crois...
Shiro: Qu'est-ce qu'il t'arrive encore ?
Ichigo: ...Je t'aime.
L'orangé rougit et Shiro sourit avec ce même sourire presque malsain.
Ichigo: Par contre je m'en veux, j'ai tout arrêté...
Shiro: C'est pas grave, on remettra ça a la prochaine fois ou tu viens..
Il se rapproche de l'oreille du roux et lui chuchotte :
Cette fois-ci, c'est toi qui te fera mener à la baguette, mon Roi.
Ichigo rigole
Ichigo: J'aimerais bien voir ça tiens !
Shiro: Tu le vivras, c'est encore mieux.
Le rouquin rigole et déplace ses mains de façon à pincer les fesses de Shiro qui pousse un petit gémissement, Ichigo rigole de plus belle et lui susurre : C'est comme ça que tu reste le dominant ?
Shiro réplique en lui mordant l'oreille et tout deux s'embrasse tendrement...

Ichigo se réveille dans son lit, en sueur avec un mal de tête relativement douloureux.
Il se dit Je crois que c'est un des meilleurs rêves que j'ai pu faire...
Tout du moins, voir Shiro lui plaît beaucoup mais l'envie de protéger ce qui lui est chère l'est aussi.
Aujourd'hui, dernier jour de ses vacances, il va essayer d'enfin pouvoir se rétablir correctement... Il faut dire qu'il n'y est pas vraiment pour quelque chose, si ses nuits n'étaient pas aussi fatiguantes, peut-être qu'il récupérerait plus vite...
Soudain, quelqu'un toque à la porte.
Karin: Ichi-nii, je peux entrer ?
Ichigo: Euh, ouais vas y.
Il s'assoit rapidement sur son lit pour ne pas inquiéter sa petite sœur.
Karin: Tu sais que ça sert à rien de faire style que tout vas bien, t'as une tronche de zombie.
Elle ferme la porte et viens s'assoir sur sa chaise de bureau.
Ichigo: Je suis si immonde que ça ?
Karin: T'as pas l'air dans ton assiette juste.
Ichigo: Et c'est le cas.
Karin: Ichi-nii... Dit moi, qu'est-ce qu'il te tracasse ?
Ichigo: J'ai l'air d'avoir des problèmes quelconques ?
Karin: Oui.
Ichigo: Tu te fais de fausses idées, je vais bien, mis à part le fait que je soit un peu malade...
Karin: Ichi-nii... Ne me ment pas.
Ichigo: Je ne te mens pas, arrête de te faire du soucis pour moi, tout va bien je t'assure.
Elle se lève et regarde son grand-frère d'un œil triste avant de quitter la pièce.
Au fond, est-ce qu'il aurait bien fait de lui dire tout ce qu'il lui passe par la tête en ce moment ?... Sûrement pas, premièrement, dire qu'il s'inquiète pour sa famille proche en général et ses amis n'aurai que plus attirer l'attention sur lui. Deuxièmement, dire que son cœur est occupé par un être imaginaire qui se trouve être un homme en plus de tout, est tout simplement impossible.
Comment faire pour retrouver ses pouvoirs, et pour pouvoir avoir Shiro pour lui seul ? Deux seules questions qui relèvent un tas de problèmes gros comme la moitié de la superficie de la Russie.
Il décide d'enfiler un tee-shirt, une veste et de mettre un nouveau jean pour sortir un peu, tout en prévenant Karin et Yuzu de sa sortie, son père étant dans la clinique avec un patient.
...
Marcher fait du bien à son esprit, il se sent respirer à nouveau, même si depuis quelques jours, il a un mal de tête plus que douloureux, il reviens dans sa vie, en quelques sortes.
Il s'assoit sur un banc dans le parc, ferme ses yeux et inhale un grand coup d'air frais; les oiseaux volent dans le ciel, le soleil caché derrière un monceau de nuages essayent tout de même de faire parvenir ses rayons pour néanmoins pouvoir profiter d'une luminosité blanchâtre.
Ichigo se sent bien, il n'a plus envie de bouger, plus du tout...
???: Sakiiiii.. Unnnn !
Ichigo ouvre ses yeux clos et aperçoit la silhouette d'Orihime au loin.
Orihime: Kurosaki-kun !... Bonjour,comment tu te sens ?
Ichigo: Je vais plutôt bien, merci.
La jeune fille s'assoit à côté du rouquin.
Orihime: Qu'est-ce que tu fais ici ?
Ichigo: Je prends un bon bol d'air frais.
Orihime: Oh, je vois... Je te dérange peut-être alors..
Ichigo: Non, non t'inquiètes pas.
Orihime: Tu es encore malade ?
Ichigo: Malheureusement, oui.
Orihime: Mon intuition était bien juste, je t'ai pris un petit quelque chose pour te rétablir.
Le jeune homme attrape le sac en plastique qu'elle portrait depuis le début qu'il n'avais même pas vu.
Ichigo: Merci beaucoup, mais t'aurais pas dû.
Orihime: Ne t'inquiètes pas, c'est normal, entre amis.
Ichigo: Encore merci.
Le roux à sentit une pique dans cette phrase, juste au mot "amis", il eu l'impression qu'elle l'avais beaucoup appuyé pour le faire réagir à ses propos.
Ichigo: Tu m'excuseras, je vais rentrer chez moi, la maladie reprend.
Orihime: Pas de soucis ! À demain Kurosaki-kun !
Ichigo: Ouais, à demain Inoue.
Et il reprit le chemin de chez lui tout en songeant à la "petite colère" que Orihime à réussit à mettre dans sa phrase...

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Et voilà la suite de l'histoire !
En espérant qu'elle vous à plu..
Désolé pour les fautes.
À la prochaine pour la suite.
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