Je suis rien sans Toi Tome 1

Chapitre 9

Fred était sortit du coma depuis une semaine , semaine qui avait été difficile pour nos amoureux , Alice avait dut retourner a paris pour l'enquête sur les attentats

Alice était rentrer tard le jeudi et n'avais pas pu aller voir son homme

Vendredi 9:00

Alice dormait profondément quand son téléphone sonne

Alice ouvre les yeux en râlant et attrape son portable pour répondre

Alice (endormie) : oui allo

: bonjour ma princesse excuse moi de te réveiller j'avais besoin d'entendre ta voix

Alice : bonjour mon amour je suis rentrée tard hier soir moi aussi j'ai besoin d'entendre ta voix de t'avoir prêt de moi

Fred : tu es rentrée a quelle heure hier?

Alice : euh pas loin de minuit

Fred: tu n'as pas dormis beaucoup

Alice : oui mais être réveiller par l'homme que j'aime ça vaut tout les sacrifices

Fred : tu veux bien passer sur la tablette on sera mieux en visio

Alice : oui je la récupère sur le bureau et je te reprends

Alice raccroche sort du lit pour aller chercher sa tablette et revient se mettre sous la couette

Alice et Fred continuent en visio

Alice : sa va mon ange ?

Fred : oui même si j'aurais aimer me réveiller auprès de ma femme plutôt que seul a l'hôpital

Alice : courage mon chéri moi aussi j'aurais préférer que tu me réveiller avec des bisous plutôt que avec la sonnerie du téléphone

Fred : des bisous partout oui j'aurais commencer par ton cou et j'aurais descendus en continuant par tes épaules , ta poitrine et j'aurais descendus de plus en plus bas tout en te caressant

Alice frissonnait après les paroles de son homme

Alice : fredddddddddd

Fred : oui c'est moi

Alice : arête de me torturer je vais jamais tenir si tu doit rester longtemps a l'hôpital

Fred était fier de son effet

Fred : moi non plus je vais jamais tenir mon amour

Fred : j'espère que je vais vite sortir

Alice : j'espère aussi je vais craquer sinon

Alice (coquine) : si tu savais ma tenue la tout de suite

Fred : nonnn Alice ne me dit pas que

Alice (souriante) : eh si mon chéri

Fred sentait son intimité se tendre

Fred : t'es pénible mon ange je vais avoir l'air de quoi pour la douche

Alice ; c'est toi qui a commencer mon amour

Fred : oui j'assume