Chapitre 1

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Trois heures de route en voiture, je commençais à avoir marre de ma soeur qui téléphonait a toute ses amis. Pour moi aussi, c'était dur de quitter tous mes copains, mais je n'appellais pas pendant des heures mes amis.

- Théa. Théa. Théa ! Théa ! THÉA ! Cria ma mère.
- Quoi ?! Demanda ma soeur d'une voix qui là ressemble pas.

Ma mère d'espérer sorti de la voiture et l'ignora. Théa éclata une grosse bulle et recommença à mâcher son chewing-gum comme une vache. Je lui pris sa main et la tira hors de la voiture, elle me regarda et mis un casque sur ses oreilles, elle commença à pleurer. Elle écoutais la musique préféré de sa meilleure amie, pour essayer de la réconforter je l'est prise dans mes bras. Comme son futur petit copain.

- Théa ! Théo ! Venez, vous allez enfin visité notre nouveau chez nous ! Appela notre mère enthousiaste.
- On arrive ! Criais-je.

Je tirais ma soeur jusqu'à la porte principale de l'appartement. Pour une première impression c'était rater, tout était délabré, vieux, j'ai donc écarté Théa. Au cas où... Ma mère cherche ses clé. Après 3 minutes, elle arrive enfin à les retrouver.

      C'était une salle assez belle, pour ceux qui était d'une autre époque. Ma soeur, à décider de nous rejoindre, sans présence d'un téléphone ! Il y avait un escalier enchaîné, peut-être une zone trop délavée pour être considérée comme un appartement. Un peu plus au fond, il y avait les portes des différents apparemment. Un vieux monsieur était assis entrain de s'arracher les cheveux, et pleurer. Quand il avait étendu nos pas, il s'est retourné et annonça :
- N'ouvrez pas cette porte. Jamais ! N'allez pas en haut et n'allez pas le soir hors de votre chez vous.

Il montra la porte au fond enchaîné, puis rentra chez lui. Ce qu'il avait dit donner envie d'habiter ici. Mais, je supposais que avec l'argent que possède mes parents, c'était le plus noble appartement. On rentra dans notre nouveau chez nous, c'était le seule endroit pas vieux. Tout était à notre goût, surtout les chambres. Ma mère avait dû prévoir de retaper cette endroit. Quand, elle fini de faire sa manie de laver les poignets portes, elle rentra avec mon père. Aussi surprise que nous, elle déclara :
- Comment est-ce possible... J'avais même prévu des jours en plus pour pouvoir retaper la maison... Je suis outrée. Choquée !

        On pourrait m'expliquer. Elle vient de dire qu'elle as prévu des jours de congé pour retaper la maison, alors que là, tous est parfait. Il y a un truc pas logique. Ma soeur ayant une amie croyant au esprit annonça :
            - La maison a été arrangée pour nous satisfaire et cette esprit malicieux nous tuera tous !

            Toute la famille eu un frissons en imaginant la scène. Mais, c'est pas impossible... Et, c'est vraiment, n'importe quoi.

           - Les enfants, commença notre père, nous vous promettons d'avoir un meilleur logis, plus tard.

Mon père étant en fauteuil roulant, il ne demandait pas à quelque chose de grandiose, mais nous on voulait LA maison. Mais, maintenant on est ici. Dans une maison, retaper par, je ne sais qui.

Ma soeur trouva une lettre et la donna à sa mère.

~ Chères M. et Mme. Jackson,

Si vous lisez cette lettre, c'est que vous êtes arrivé à destination. Comme vous le voyez, avant ma mort, j'ai mis tout mes sous dans cette maison. J'espère, qu'elle est à votre goût.

J'ai quelques choses à vous demander, déjà en premier, ne soyez pas très brusque avec votre seule voisin. Il pourrait vous sauvez à n'importe quelle moment. De deux, n'allait jamais ouvrir la porte au fond du couloir principal. JAMAIS ! Sinon, vous le regretterez. Troisièmement, ne montez jamais les escaliers enchaînés. Et ne passez, sous aucun prétexte, la porte ou cassez ses chaîne. Et pour finir, chaque soir à 22:30, fermé à clé toute les portes et toutes les fenêtres. Et ne venez pas ouvrir, si on sonne. Même si quelqu'un vous le suppliaient.

~ Nathalie.

- Maman... J'ai peur... Je veux rentrer à la maison ! Notre ancienne, maison.
Avait dit Théa d'une voix tremblante.
- Ne t'inquiète pas, répondit ma mère, tu sais cette dame était un peu folle. Mais, si sa te rassure, je ferais ce quelle dit.

          Toute la famille perplexe, se dirigea vers leurs futures corvées ou visiter la maison. Ma mère et mon père regardait si il ne restait pas à manger, qui serait resté ici, avant sa mort ou si tout avait été rapporté. Ma soeur et moi y découvrît 3 chambre, les chambres étaient parfaitement à nos goûts. Elle est quand même forte madame Karl, elle à réussi à tous aménager sans jamais nous avoir rencontré. Elle as du surtout, ce fiait à la mode actuelle des jeunes. Parce que oui, on suit la mode actuelle. Et même si enfant j'adoré jouer à la poupée, la mode me l'a interdit. Et ma soeur, devait et doit toujours suivre la mode féminine à la lettre. La pauvre Théa, elle ne pourra jamais mettre ce quelle veut, quand elle veut.

       C'était le soir, à cette heure ci, tous le monde sauf moi, dormaient comme des bébés. J'étais entrain de récapituler, toute la journée. On as déménagé, on as atterri dans un appartement super moche et comme par hasard, tous l'intérieur nous correspondait. Il ne faut pas oublier, le vieux affolé qu'on à rencontré et qu'on doit pas brusquer... J'avais l'impression d'oublier quelque chose, quelque chose d'important... Je ne savais pas quoi. Je m'étais levé et je suis aller dans la cuisine, j'aperçus une lettre, la lettre de Mme. Karl ! Voilà, ce que j'ai failli oublier, les interdictions de Mme. Karl. Soudainement, je m'étais mis à vérifier toute les fenêtres et portes, mais tout était fermé à clé. Tous d'un coup, j'entendis des pleures et une femme pleurer et dire :

     - Ouvre-moi, s'il te plaît... Je sais que tu m'entends. Ne sois pas indigne, s'il te plaît... Ouvre-moi. Je t'en supplie !!

     Elle s'avait que j'étais là, et que j'étais le seul à être là. Comment ? Comment, est-ce possible ? Je ne répondis pas et la laissa pleurer en plan, j'étais un peu apeuré. Je mis la lettre de Mme.Karl dans ma veste, histoire de ne pas oublier un seconde fois.

L'appartement Où les histoires vivent. Découvrez maintenant