Ma lumière

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On me disait que les étoiles mourraient elle aussi,
Que ta vie, semblable à la flamme d'une bougie qui vacille, devenais fragile et qu'il fallait te laisser partir.
Puis un matin de décembre, tu as rejoint le paradis mon ange
La mort, dans sa grande indifférence
De mes bras, t'a arraché
Toi ma lumière,
Tu as tiré ta révérence
Comme dans une immense pièce de théâtre
Les rideaux se sont fermés sur ton existence.
Telle une pétale de rose blanche
Tu es tombé en silence.

Sombre plumeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant