First Start - Serv et Ed

Chapitre 4 : L'indice

                         Ses infos étaient assez intrigantes : tous étaient incompréhensible mais se tournait vers le Cartel, ce qui était révélateur pour 'cranck. Mais ces indices restent complexes voire compliqués à comprendre étant donné les étendues des lieux ainsi que la diversité des témoins. L'un était heureux, de bon cœur et engageant, tandis que l'autre pouvant être tragique, égoïste et manipulateur ; il aura du mal à discerner le Cartel là-dedans. Mais il continua de penser à l'homme qu'il poursuivait, il savait que 'cranck le suivait et savait pour sa fille lorsqu'il lui a donné ses condoléances, c'était surtout lui le fardeau de l'histoire. 'cranck essaya par tous les moyens de trouver des informations sur lui et était tombé sur une histoire de dépôt de brevet concernant un projet de "barre d'électricité". Perplexe, 'cranck commençait des recherches sur ça et tomba sur un certain Servallou qui avait breveté les barres d'électricités. Ces barres consistaient à produire de l'électricité pour des villes mais aussi pour s'alimenter. En effet, une barre produit au total huit mille Kilowatt par seconde et en utilise sept mille pour s'auto-alimenter. Ça remplacerait toutes les centrales polluantes comme le nucléaire ou encore le charbon. C'était du pur génie. 

-Et cette article date du 26 janvier 2019. Wohao ça date, dit 'cranck.

On frappe à sa porte.

-Non ! débita 'cranck

-Ouais, bonjour à toi aussi. Dit, est-ce que tu as ce que je t'ai demandé ? rétorqua Kyle.

-Et tu pouvais pas le faire toi-même ?! Bon tiens !

-Merci. Maintenant j'ai l'habitude avec toi : tu t'énerves quand on te demande quelque chose, et tu t'énerves quand on te le réclame, pourtant tu l'as. Tu vois que tu peux être sympa des fois.

-Bon dégage maintenant, j'ai pas que ça à faire.

-T'inquiètes pas, moi non plus.

Il ferma la porte.

'cranck était assez fatiguer, mais même bien sous drogue dure il était comme ça. C'est son caractère. 

                         Dépité, il se leva de son bureau, oublia de le fermer à clé et va dans le parking du commissariat pour prendre sa voiture et rentrer chez lui. Il était l'avant dernier à partir après Kyle étant donné qu'il déteste vérifier si tous les bureaux du bâtiment étaient fermés ou non, ou encore vérifier l'état des lieux. En fermant la porte de sa voiture, il se demandait s'il était réellement compétent pour ce métier, même si il sait que oui, il aura toujours des doutes. Sur la route, il vit des gens courir, s'engueuler ou juste marcher sur le bas côté, et c'est maintenant qu'il se demande s'il est normal. En rentrant, il se posa plusieurs questions sur ses actions de tous les jours comme le fait que de laisser son collègue tout ranger à sa place est un peu déplacé ou encore son chien ou sa fille ou encore sa femme. Il était tellement ailleurs qu'il n'avait même pas remarqué que sa serrure était forcée. Très Choqué, il commença à appeler la police, mais il semblait connaître le coupable. En regardant attentivement la serrure, il remarqua qu'elle a été forcée de l'intérieur, comme si le cambrioleur a voulu faire croire qu'il était passé par la porte. 'cranck chercha donc l'endroit où il aurait pu passé : il cherche dans la cave, rien. Ensuite dans le rez-de-chaussé, rien. Puis à l'étage, rien. Enfin dans le grenier : rien ! Il était figé de perplexité : soit cet homme est super fort, soit il est réellement passé par la porte. Le plus rationnel c'est qu'il soit passé par la porte. Il gardait toujours son suspect en tête...

                          Plusieurs jours sont passés et il n'a toujours rien fait pour réparer la serrure, mais rangea son appartement. Il a prit au moins trois jours pour tout ranger correctement : remets les tapis en place, organise ses meubles, dépose les photos de famille avec sa femme, sa fille, lui et son fils. Ce dernier est toujours dans la ville et voit souvent son père mais reste très distant avec lui. 'cranck regarde longuement la photo, examine chaque détail et se dit qu'il faut peut être la jeter mais la repose sur l'étagère. Soudain, son téléphone sonne, c'est son fils ; il décide de répondre :