Chapitre 5

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De là-bas tout paraissait si beau, c'est comme si l'air imprégné enfin mes poumons, je prenais vie au sein d'une perpétuelle rivière. C'était si bon de s'y plonger, je fermais les yeux et alors j'entendais enfin mon cœur battre, chaque fois que j'y retourné cela duré un peut plus longtemps. Je plongeais un peux plus loin. Rien que d'y penser j'en es le cœur qui palpite.

Le théorème de LunaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant