Alice : freddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddd
A une centaine de mètres de la
Une scène de désolation était visible l'entrepôt avait été souffler par l'explosion le camion de la BRI avait été projeter sur le toit
Fred (se relevant doucement) : tout le monde va bien ?
Ludivine : moi c'est bon
Ludivine : commandant vous deviez aller voir madame la juge si je peux me permettre on gère
Fred : oui elle doit être intenable
Fred part en direction de sa voiture
Du côté d'Alice elle avait essayée d'approcher mais était retenus par un policier
Alice (en colère) : je suis votre supérieur vous ne pouvez pas m'empêcher de passer
Policier : oui je n'ai pas le droit de retenir La juge Marquand mais je me dois de vous empêcher de passer car vous êtes la femme du commandant Marquand
Alice : oui vous avez raison je dois l'admettre
Fred (arrivant) : Xavier laisse la passer
Xavier (se retournant) : bien commandant
Le policier lâche Alice qui en profite
Alice (en colère parlant avec les mains) : tu ne peux pas t'empêcher de te mettre en danger de jouer les héros je fais comment moi avec les enfants s'il t'arrive quelque chose
Alice va pour mettre une baffe à Fred mais son commandant lui prends les deux mains et l'embrasse langoureusement pour la faire taire
A bout de souffle Alice finit par mettre fin au baiser et nicher sa tête dans le cou de son comandant tout en resserrant son étreinte
Comme pour se rassurer que son homme allait bien Alice déposait frénétiquement des bisous dans son cou
Fred n'en menait pas large il s'en voulait d'avoir mis Alice dans un tel état il l'entendait sangloter doucement
Fred (doucement) : tout va bien Alice calme toi pardon mon amour
Fred sentait Alice trembler dans ses bras
Le couple était dans leur bulle autour d'eux régnait une certaine agitation les services de secours étaient arrivés
Alice finit par se calmer
Alice (reprenant ces esprits) : tu m'as fait tellement peur mon amour
Fred : je vais bien mon amour j'ai eu le temps de m'éloigner avant l'explosion
Fred : aller sèche tes larmes et fait moi un grand sourire
Alice arrête de pleurer et embrasse langoureusement son mari
Fred : là c'est mieux tu vas devoir refaire mon maquillage mon ange
Alice (se regardant dans le rétro d'un fourgon) : euh oui j'arrange le plus gros on verra après
Alice enlève comme elle peut le maquillage qui avait couler
Fred : on va faire un point Madame La Juge
Alice (lui fessant un clin d'œil) : oui commandant
Le couple part rejoindre le lieutenant Gautier Fred avait entremêler ses doigts a ceux de sa compagne
Alice : on vous écoute lieutenant
Ludivine : les pompiers sont entrain de soigner les collègues de la BRI qui ont été secouée par l'explosion
Alice : et comment vont 'il ?
Ludivine : pas trop mal ça aurait pu être bien pire
Ludivine : et au niveau de l'entrepôt je ne pense pas qu'on pourra trouver quelque chose
Fred : et merde
Le téléphone du lieutenant sonne
Ludivine : OUI allo
Ludivine : à vos ordres Mr LE DIVISIONNAIRE
Le lieutenant raccroche
Ludivine : commandant Mr le divisionnaire me demande de vous prévenir que vous êtes convoqués en tant que témoin a la comparution immédiate de Mr Ibrahim Belkacem pour outrage sur la personne de La Juge Alice Marquand
Fred : d'accord et à quelle heure ?
Ludivine : à 14h30 il m'a dit de vous dire qu'après concertation avec le président du tribunal vous et Madame la juge étiez en repos jusqu'à demain à partir de maintenant
Fred : d'accord tu me collecte le plus d'indice possible vidéo surveillance enfin le travail habituel
Ludivine : bien commandant
Fred (à sa belle) : nous on va rentrer
Alice : oui à demain lieutenant
Le lieutenant se contente de faire un signe de tête
12h30 sur les hauteurs de Nice
Fred et Alice venaient de rentrer après un passage à la brigade pour la voiture d'Alice
Fred : je vais prendre une douche mon ange
Fred part dans la salle de bain Alice elle commence à mettre la table pour le déjeuner avant de se raviser et de rejoindre son mari sous la douche
Alice rentre dans la chambre se déshabille avant d'aller vers la salle de bain ou elle constante que la porte n'est pas fermer à clé
Fred (sentant les bras d'Alice) : mais dit donc Madame Marquand je ne crois pas vous avoir inviter
Alice : mais je me suis invitée toute seule dans la douche de mon mari
Alice (taquine) : et je ne serais pas contre un remontant
Fred se retourne et regarde Alice dans les yeux
Fred (sachant très bien) : un remontant quoi comme remontant
Alice (embrassant son homme) : tu sais très bien Fred fait moi l'amour
Fred commence à déposer des bisous dans le cou de sa belle avant de descendre toujours plus bas
Le couple passe un très bon moment dans la douche avant de se laver et de se rincer mutuellement
Une fois sortis de la douche le couple se sèche tout en se taquinant
Pendant le repas le couple continue à se taquiner Alice avait même manger son dessert sur les genoux de son mari
13h45
Le couple était sur la terrasse pour un début octobre il fessait encore près de 25 degrés
Fred : tu viens au tribunal avec moi ?
Alice : je ne sais pas j'ai bien envie de rester ici tranquille
Fred : comme tu veux ma princesse
Alice : on se rejoint à l'école ?
Fred : faudrait que tu viennes me chercher je dois poser ma voiture a l'entretiens
Alice (l'embrassant) : pas de problème file ou je réponds de rien
14h30 Palais de justice salle d'audience 3
Comparution immédiate Ibrahim Belkacem
Président du tribunal : Mr belkacem savez-vous le pourquoi de votre comparution ?
I.B : non Mr le président
Président (sévèrement) : Mr Belkacem vous comparaissez pour outrage sur la personne de la Juge Alice Marquand
I.B : et alors elle est pas contente cette connasse
Deux rangs derrière Fred bouillonnait de rage
Président : bon je pense que nous n'avons pas besoin du témoignage du commandant Marquand
Président : Mr Belkacem c'est très grave ce que vous venez de faire
I.B : oui et alors tu vas me faire quoi vieux snock ?
Président : greffier noter l'outrage que vient de commettre le prévenu
I.B : il va rien noter du tout ou je vous plante tous les deux
Président : mr Belkacem veuillez arrêter vos fanfaronnades
Le prévenu est ceinturé et menotter par les policiers présents
Les jurés se retirent pour délibérer
Alice de son cotée profitait du chaud soleil de ce mois d'octobre
Salle 3 15h30
Les jurées venaient de revenir
Procureur général : Mr belkacem levez vous
Le prévenu est lever avec la force
Procureur : Mr belkacem vous êtes reconnus coupable d'outrage sur la personne de la juge Marquand vous êtes donc condamné à deux ans de prison et 15.000€ d'amende
Procureur : vous purgerez votre peine en attendant votre procès pour meurtre
Procureur (aux gardien) : messieurs veuillez procéder au transfert du prévenus l'audience est levée
30 minutes plus tard brigade criminelle bureau du commandant Marquand
Fred fessait le point avec le lieutenant Gauthier
La porte s'ouvre laissant Alice rentrée
Alice : vous travaillez dur à ce que je vois commandant
Fred : très pour le moment les images de vidéo surveillance ne donne rien
Alice : dans ce cas rentrons chercher nos enfants commandant
Fred : c'est parti
Fred (à Ludivine) : rentre chez toi ça attendra demain
Ludivine (surprise) : bon très bien à demain commandant bonne soirée avec Madame la Juge
Fred : merci à toi aussi à demain
Alice et Fred partent de la brigade main dans la main
16h30
Ecole Paul
Alice : alors ça à donner quoi la comparution immédiate ?
Fred : comme il a continué son outrage il a pris double peine
Fred : et en plus il a insulté le président donc il repassera encore en comparution
Alice : d'accord c'est fou ce temps on ne se croirait pas au mois d'octobre
Fred : et pourtant pour mon grand plaisir de voir ma femme avec des petites robes d'été
Alice : et moi j'adore te faire plaisir tu verrais le temps à Paris
Fred : rien que pour la météo je regrette pas d'être partit
Alice : ni moi mon ange
La sonnette retentit pendant qu'Alice embrasse tendrement son homme
Paul : papa maman arrêter de vous faire des bisous
Alice se retourne en rigolant
Alice : ça a été l'école chaton ?
Paul (prenant ses parents par la main) : oui maman aller on va chercher mes petites sœurs
17h00
L'heure était aux devoirs pour Paul
Paul (caressant le petit chiens) : maman ?
Alice : oui mon grand
Paul : comment on pourrait appeler le chien
Alice : j'avais pensée à Falco
Fred : ce n'est pas mal tu en pense quoi pirate
Paul : j'aime bien aussi
Alice : on fait ça alors
Alice : laisse Falco tranquille tu as des devoirs je crois
Paul : oui maman
Pendant que Fred supervisait les devoirs Alice rangeait la maison tout en surveillant les jumelles
La journée se termine tranquillement pour la petite famille
Une fois les enfants couchés le couple se retrouve dans leur cocon d'où bientôt s'échappait des bruits éloquents
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Une nouvelle Vie a 5 tome 2
Fanfictiontome 2 de la fiction Je ne suis rien sans toi Pour une meilleur comprehension il est preferable d'avoir lut le tome 1 "Je suis rien sans toi"