Chapitre 1 :
Un drap blanc, un lit blanc, des rideaux blanc.
Le paradis ? Non l'hôpital...
Certaines personnes déteste cette endroit, personnellement moi, c'a met complètement égal...
L'hôpital c'est simplement l'endroit où on sauve des vies, ou on respire pour la première fois ou on meurt...
C'est un endroit qui signifie la mort mais qui est peint au couleur de la vie.
Mon dernier souvenir est cette couleur trop blanche qui m'aveugle.
Et se médecin que je trouve trop petit et trop vieux pour l'être.
Mais qui suis-je pour me permettent de juger ?
Simplement moi.
Mais parfois ça fais du bien.
On est pas jaloux mais on a simplement envie de juger pour prouver qu'on est plus forts...
Qu'on tient le coup.
Qu'on ressent des émotions.
Je remue mes paupières, cligne deux trois fois des yeux...
Et me relève, et me penche sur le côtés. Un tuyau transparent est dans mon nez, je respire fortement mais je suis en vie...
Je n'aurais pas du l'être pourtant.
Pourquoi ?
C'est une assez longue histoire...
Bien trop longue à expliquer oralement mais à l'écrit ?
C'est possible.
Ce qui me mène à vous Maintenant... A cet instant...
Ces pensées qui surviennent, alors que mes proches dorment les uns contre les autres dans ce canapé trop clair et trop blanc dans cette salle plongée dans le noir de la nuit, et des allés-retours d'humains en blouse blanche...
Je me rallonge fermant les yeux, oui j'entend des bruits de pas. Je ne veux pas ouvrir les yeux , ni me lever ça me fait trop souffrir au niveau de ma blessure...
Cette personne croit que je dors, je l'étendis s'approcher de mon oreille et murmurer :
"Elena, je suis désolée, c'est ma faute, je t'a supplie réveille toi...
Mon corps, mon cerveau le reconnaît , mais il m'est impossible d'ouvrir les yeux...
Je ne sais pas qui il est , mais je sait ce qu'il représente. Je veux m'interdire de me souvenir de lui.
De ce que j'ai aimer.
De ce que j'ai été.
Je n'avais jamais cru à l'expression sur le passé qui refait surface un jour ou l'autre. Mais maintenant , je comprend.
Cette confrontation avec cette personne et moi, le "dernier Jugement " comme je l'appelle devra arriver un jour ou l'autre.
Je voudrais crier, m'expliquer mais la morphine qui coule dans mes veines me l'interdit.
Mes émotions sont plus fortes désormais, plus belle mais aussi plus dramatique pour une personne comme moi.
Je l'entend s'éloigné, et la porte se refermer.
Enfin...
Comment expliquer que je suis une bombe à retardement, que un ce de ces jours je vais explosée et je dirai tous ce que je pense à tout ce qui le mériterait ?
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Mea Culpa...
Romance" J'ai du mal, je n'ai peur de rien, mais pourtant je tremble, Parce que le monde s'acharne sur les faibles, Et que moi je les défends " D'un côtés nous avons Elena 17 ans, rebelle au grand caractère, elle n'hésite à dire ce qu'elle pense, elle env...