triste dessein pour celle
qui s'imaginait
belle et gracieuse
comme l'hirondelle
qui chante l'été
solaire et impétueusele coeur essoufflé, l'organe est pâle, fatigué,
besoin d'écorcher l'amour à coup de scalpel, l'réduire à néant, l'démolir à coup d'boulets de canons, l'transpercer avec nos mitraillettes, l'cribler de balle,
le défier, le torturer
pour avoir oser
nous briser« chirurgiens du coeur en renfort » hurle-t-on
ça tourbillone dans sa tête,
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étés jaunes
Poesietympans percés et bouches cousues, on aspire tous aux étés jaunes © mourire | novembre 2018