Chapitre 2-

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DIANA

Aujourd'hui,  je devais rencontrer,  Rafaël Lander. À vrai dire,  j'étais un peu stressée,  il ne fallait pas que je me mente, j'avais peur, peur qu'on me reconnaisse. De toute façon,  j'étais déterminée, je devais pas droit à l'erreur. Je me suis habillé d'une tenue simple,sombre pour l'entretien d'embauche.


Je souffle un bon coup et m'avance d'un pas décidé dans le grand bâtiment devant moi

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Je souffle un bon coup et m'avance d'un pas décidé dans le grand bâtiment devant moi. La première chose que je découvre est un énorme hall bien éclairé où de nombreuses personnes courent dans tous les sens.Je me dirige vers la réception et vois une belle jeune femme celle-ci a des yeux noisettes et ses blonds dorés attaché en chignon. Elle me sourit laissant apparaître une fosette.

-Bonjour, bienvenue chez Lander's corporation,que puis-je faire pour vous?

-Bonjour,  je réponds. Je viens voir monsieur Rafaël Lander.

-Hum ok.

Elle tape quelques chose sur son ordinateur avant de me déclarer:

-Ah, vous êtes Diana Rivera?

-Oui.

-Très bien, on vous attends. C'est au 32ème étage, et bonne journée.

-Merçi.

Je pars en direction de l'ascenceur où un bon paquet de personne y est déjà. J'appuie sur le bouton et attend qu'il décolle.

Une fois arrivé,  je sors de l'ascenseur accompagné d'autres personnes. Un long couloir ouvre ornée de quelques tableaux se dresse devant moi. J'hésite d'abord à avancer mais je me resaisi et marche droit devant moi.

Je souffle un bon coup et toque. J'entends un faible entré et ouvre la porte. Je m'avance dans l'immense bureau où un homme aux yeux bleu glacial. Ses cheveux sont en bataille. Ses sourcils se sont froncés quand il m'a regardé et il a humidifié ses lèvres.
Il portait un costume gris avec une cravate bleu marine et une chemise blanche.

Ma respiration se coupe quand je le vois

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Ma respiration se coupe quand je le vois. Il a beaucoup changé,  je dirais plus mature mais il a toujours cet air froid. Je n'oublierai jamais ce qu'il m'a fait vivre.Un vrai cauchemar. À cette pensée je serre les poings. Il faut que je me calme sinon ce serait un bain sang qu'il y aura.

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