prologue

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Il était là, devant moi après ce qui m'a semblé une éternité. Cela fait maintenant tout une semaine que je ne le pas vu, une semaine que ma tête n'a cessé de me torturer...une semaine d'enfer absolu.

Il avait changé, une barbe de trois jour couvrait sa joli mâchoire creusant d'avantage ses joue, lui donnant ainsi plus de virilité. On dirait qu'il venait tout juste de se réveiller, ses cheveux brun étaient en bataille, ses traits on pris quelques couleur plus sombre que je ne lui reconnaissait pas.

Il était en torse nu portant un simple jogging gris, se tenant devant moi, l'épaule adossé au mur, me regardant comme si j'étais la dernière des idiotes, sans bougerer aucun de ses membres, m'analysant simplement des yeux.

Cette situation me destabilisait plus qu'est ce que j'en pensais. Je ne supportais pas qu'il me regarde avec tout le mebris de la terre. Non je voulais qu'il vient vert moi le sourire aux lèvres comme il en n'avait l'habitude, qu'il me prend dans ses bras me disant que tout ira bien, qu'il sera toujours là pour moi, et que je n'aurais pas a craindre tand qu'il est avec moi.

Son regard était vide, dépourvu de tout émotion, je m'approchais de lui essayant vaguement de lire en lui, fuyant dans ses yeux a la recherche de quelque chose de familier mais c'était une peine perdu. Ses emeraudes me regardaient surpris, puis une lieur froide passa dans ses iris me glaçant sur place, il me jaugea de la tête aux orteils avant de me balancer d'une voix monocorde dépourvue de toute émotion.

"- Qu'est-ce tu fou là.
Qu'est ce que je fait là?

- Qu'est-ce que je fous là? Tu t'es fou de ma gueule? Qu'est ce qui ne tourne pas rond chez toi au fin du compte? Tu ne répond plus aux appelles, on ne te voit plus au lycée, tu compte prouver quoi par tes gestes? Je lui cria dessus au faisant des gros gestes avec mes mains. Si c'est pour me faire du mal et bien figure toi, tu a réussi même a casser mon petit coeur on mille morceaux.

- Dégage, me cria-t-il a son tour me faisant sursauter au passage
que je dégage non mais j'hallucine, fallait qu'on me pique parce-que la je ne crois pas mes yeux,

- Que je dégage? Je ne bouge pas d'un poil OK, parce-que TU me doit des explication.
Qu'est ce qui ne vas pas chez toi, pourquoi tu me traite de la sorte? Je sait que tu me cache quelque chose, parle moi s'il te plait, ne me tourne pas le dos.

- Écoute la dernière chose que j'aimerais faire c'est de me prendre la tête avec toi Trice donc tu fera mieux de partire d'ici. Sa voix était distante et voilé par une tristesse indéchiffrable, quelques cernes avaient prise place sous ses émeraude, "qu'est ce qu'il lui arrive, etait-il malade? Avait-il de soucie?, pourquoi Paraisait-il si triste". Je le suppliais du regard le posant mille et une question a la fois, je savais qu'il pouvait lire en moi tout comme il a su bien le faire auparavant, qu'il pouvait entendre mes pleures intérieur mais pour ça il fallait qu'il me regard, qu'il me perce, or son regard me fuiait pour l'instant.

- Éric s'il te plait, j'en peut plus, dit moi ce qui ne va pas. Ne m'a tu pas dit que tu ressentait quelque chose pour moi, que tu me voulait dans ta vie. Q'est ce qui a changer? Parce-que la je ne te suis plus. Je lance d'une voix épuisé

- Ah ça alors, me dit pas que tu a cru tous ce que je t'avait dit. Aller Béatrice je te croyais plus intelligente que ça, mais il parait que t'as tomber dans le panneau toi aussi, tout comme elles d'ailleurs.
Voilà comment me tué en quelques minutes, m'enterrer plus bas que je ne l'étais, m'enlevant le petit espoir que prenait ma vie ce dernier temps.

- tu pensait a quoi, que nous allons nous mettre ensemble juste parce que qu'on a b***** , il me dit en ricanant amèrement. Ce qui m'arracha un frison horrible. Bon ce vrai que t'etait pas mal comme coup, mais bon ça s'arrête là.
La gifle était parti toute seule, voilà ce que représentais pour lui? Un coup d'un soir?

- Comment ose tu me traiter de la sorte, comment, je t'avais tout donner, j'étais prête a crever pour toi connard. Je lui donnais des coup de poinds sur son torse, essayant de lui faire ne serait-ce que le quart du mal qu'il venait de m'affliger, mes larmes coulait a flout refusant catégoriquement de s'arrêter.

- Arrête de faire la dupe, tu n'est qu'une salope de plus sur mon tableau de chase...une pourriture."

Plus blessant que ça c'est mort, j'étais paraliser a l'entente de son dernier mot. Pas que c'était la premiere fois qu'on me traitait de la sorte, mais entendre cela sortir de sa bouge était une toute autre chose, mon père avait l'habitude de me lançer ce genre d'injure juste pour me rabaisser. Mais cela ne ma jamais autant blesser, j'avais l'impression qu'on me martelait un couteaux dans le coeur, j'avais mal, terriblement mal, je tremplais comme jamais sous ses mains qui tenait fermement mes deux mains joingnis l'une a l'autre. Son regard s'adoucit réalisant enfin la gravité de ses propos, alors que ses mains me relâchèrent soudainement comme brûler par mon contact. Ses lèvres s'entreouvrirent une seconde mais rien ne sortie de sa bouche. De toute façon c'était trop tard pour dire quoique se soit....

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 19, 2022 ⏰

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