Serait-ce possible ? [Dramione]

Chapitre 9

PDV Hermione

Aujourd'hui on a étudié les secrets sorciers, les pièges et tout le tralala. A la fin du cour, le prof, M. Flitwick a gardé les élèves qui font partis de l'option sortilège et il nous a expliqué un tas de chose à ce sujet qu'il n'ait pas développé en classe. Nous étudiames surtout les pièces secrètes mais ont a aussi reparlé des sortilèges qu'on avait vu en classe. Une des pièces m'a intriguée plus que les autres. Une ancienne salle de classe condamnée par Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom en personne. Elle est maintenant protégée par de nombreux sorts crées par lui étant élèves et d'autre moins agressifs par Dumbledore pour ne pas qu'on essaie de franchir le seuil de la porte. Cette salle très étrange dont on entant parler que quand on se spécialise dans ace domaine étant adulte nous avait été enseigné cette année pour des raisons de sécurités et autre. Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom  devenait chaque jour plus fort et plus craint et il se pouvait qu'il vienne un jour ou l'autre chercher ce qu'il avait laissé ici. Flitwick ne voulu pas nous en dire plus à ce sujet mais il ne fit que plus nous mettre en garde : des sortilèges d'illusions et autres sortilèges trompeurs font partis de ceux qui protègent cette salle. Cela devenait de plus en plus intriguant. Je remarquais que je n'étais pas la seule à être attirée par cette salle si mystérieuse et si secrète. Après tout ceux qui étaient là maintenant, ceux qui faisaient parti de l'option étaient tous très intelligents et investis. 

Avant de nous laisser partir, le professeur Flitwick nous rappela de rester éloigné de la fameuse salle et de nous tenir près à protéger les plus jeunes que nous de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom au cas où ce qu'il prévoyait arriverait. Je ne sais pas si il avait eu le droit de nous dire ça où si il l'avait fait contre l'avion de Dumbledore mais j'étais contente d'être au courant. Ce que pouvait contenir cette salle m'intriguait énormément. Surtout depuis que je savais que le seigneur des ténèbres reviendrait peut être le chercher. Ça devait avoir de la valeur. Une fois ces mots écoulés, le professeur nous libéra de son cour et nous sortîmes un pas un. Je retrouvais Harry et Ron qui eux, étaient déjà sortis.

-C'était bien cette petite "rallonge du cour" Hermione ?

-Arrêtes Harry, c'était vraiment intéressant, d'ailleurs je dois aller...

-A la bibliothèque ! me coupèrent Harry et Ron en rigolant.

Je leur tournèrent le dos et rejoins la bibliothèque. Harry me rattrapa.

-Hermione, tu sais que tu est préfet maintenant ?

Je fis un bont en me retournant. Comment était ce possible ? Je savais que Ron était préfet, c'était comme ça depuis le premier jour de notre sixième année mais il a jamais été question que moi aussi et pour ce : je n'avais pas le temps. Et puis bien que ça ne me déplaisait pas je ne sais pas comment j'allais pouvoir gérer mon temps. Et puis qu'était devenue Parvati Patil ? La préfète actuelle ?

-Qu...Quoi ? fis-je étonnée. Et Parvati ?

-Bah oui, tu as été choisie, avec moi même en prime, répondit Ron. Parvati... Elle a démissionné pour une raison inconnue. Beaucoup disent que c'est à cause de la blessure qu'elle a eu et qui va rester un certain temps mais on ne sait pas vraiment.

Je lui sautais au cou. C'était formidable ! Sauf pour Parvati évidemment... Après quelques secondes je me séparais de lui, confuse je retournais vers le bibliothèque. J'avais une idée bien précise en tête et personne ne me détournera de ma curiosité. Je devais en savoir plus sur cette pièce dont nous avons parlé.

Une fois à la bibliothèque, je commença à mener des recherches. Sans grandes surprises je ne trouva rien sur le sujet. Il me suffisait d'attendre quelques heures que les élèves rejoignent leurs dortoirs respectifs pour aller dormir pour jeter un coup d'oeil à la réserve. Durant le reste de l'après midi je réfléchissais à mon projet. J'irais pas seulement là bas pour satisfaire ma curiosité mais aussi pour me renseigner sur la chose que je défendrais si le seigneur des ténèbres revient la chercher et pour, d'autres raisons plus complexes. Je réfléchis aussi au moyen dont je m'en sortirais si je me faisais prendre. Mais pour ça j'eu une autre solution : j'utiliserais la cape d'Harry.

Le soir venu, je me leva comme prévu dans la plus grande discrétion. J'avais fais attention un peu plus tôt à mettre la cape d'Harry en évidence pour ne pas avoir à allé la chercher près de lui. Je l'enfila et sortie du dortoir. J'errais dans les couloirs un certain temps avant d'arriver devant la réserve.

-Alohomora, dis-je en fixant la serrure.

Le verrou ceda me permettant d'entrer. Pour me faciliter la tâche j'enleva la cape. En cherchant un article, un chapitre, un titre au sujet de la salle ou de se qu'elle contenait je trébucha et m'étala par terre. J'entendis un petit cri paniqué qui venait de l'autre bout de la pièce. JE remis la cape sur moi et m'approcha. J'aperçut l'ombre d'une silhouette. Une silhouette que je connaissais trop bien à mon gout. C'est alors que je me retrouva face à face avec ses cheveux blond  platine. 

-Je sais qu'il y a quelqu'un ! Montrez vous ! cria Drago.

Il leva la main et tata dans le vide jusqu'à frôler la cape. Il en saisit un bout et tira. Sans résister mon corps se dévoila et il émit un petit sourire en coin et se moquant.

-Bah alors Granger ? Tu t'es perdue ?

Sans prendre le temps de répondre je remarqua qu'il avais quelque chose dans la main : un livre ! En regardant le titre j'ai su qu'il recherchait la même chose que moi. Nous nous fixions comme si chacun de nous attendait que l'autre baisse les yeux. Puis dans les secondes qui suivirent on entendit quelqu'un entré, Rusard ! J'empoigna la cape et me la mit dessus. Drago en prit un bout pour se cacher aussi et je le laissa faire.

-Malefoy, commençais-je en chuchotant, on cherche la même chose, laisse moi jeter un coup d'oeil au livre.

-Non ! On cherche la même chose mais pas pour les mêmes raisons !

-Alors Harry disait vrai, tu es vraiment devenu un mangemort...

Il me lança un regard mauvais avant de me donner le livre. Il y avait une carte indiquant par une croix un endroit que je n'avais jamais vu. Cet endroit se trouvait au cinquième étage.

-Mais Drago ! C'est...

-Dans la salle de bain des préfets, oui, me coupa t-il. 

Durant notre discussion Rusard était parti. Nous nous dévoilons et prîmes tout deux la direction du cinquième étage. Je jeta un coup d'oeil à son visage. Il était crispé et reflétait une émotion que je n'arrivais pas à traduire. De l'ambition, de l'envie, de la peur, de la haine ?

-Tu sais... Tu n'es pas obligé de faire ça pour lui. Tu ne sais même pas ce que cette salle renferme et ce qu'il compte faire avec son contenu.

-Je ne vois pas de quoi tu parles ! dit il avec force.

Je n'insista pas, je n'en obtiendrais pas plus de lui.

Une fois arrivé devant la porte de la salle de bain des préfets, je dis :

-Fraîcheur des pins.

L'entrée se dévoila nous laissant passer.

-Tu sais où est ce que ça se situ exactement ? Et comment y accéder ? demandais-je à Drago.

-Débrouille toi, toi qui est si douée.

Si il le prenait comme ça... J'exécuta un sortilège qui fit immédiatement une copie de la carte que Malefoy tenait dans ses mains. Je m'éloignais donc de lui. Chacun pour soit après tout... La carte menait devant un mur. Par réflexe je donna un petit cou sur le mur. Il sonnait creux. Exactement ce que j'espérais ! Je jeta un coup d'oeil à coté de moi. Malefoy était sur la même piste que moi. Je le vit reculer son poing prêt à donner un coup dans le mur et j'eu juste le temps de lui jeter un sort d'immobilisme avant qu'il ne le fasse.

-JE te pensais plus rusé que ça Malefoy... Si tu casse le mur de cette manière ça fera du bruit, alarmera Rusard, laissera des traces, et puis, tu n'es pas sur que c'est bien là. Laisse moi faire. Dissensium !

Ce sort sert à ouvrir des passages secrets. Bien utiles même si je n'ai presque jamais eu à l'utiliser. Drago me regarda d'un air moqueur en raison du manque de mouvement du mur. J'allais lui répondre mais dans le seconde qui suivit le mur s'écarta devant nous laissant place à un magnifique allée cernée de... à l'intuition je dirais pièges.