Chapitre 1

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Pomme se redressa dans son lit de paille, elle en avait plein dans les cheveux. Sa mère à ses côté semblait triste. Ses yeux bleus étaient humide. Elle sourit et elle se mit à enlever doucement les brins emmeler dans les cheveux de son enfant.

Pomme était en sueur, elle tremblait encore un peu. Ce rêve, ce n'était pas la première fois qu'elle l'avait. Elle ne l'aimait pas. Quand elle se fut calmé un peu, elle sorti de son lit. Secoua ses cheveux noirs et parti en direction du puit. Elle monta un seau le plus vite qu'elle pouvait sous l'oeil bienveillant de sa mère. Elle plongea sa tête dedans et après s'être dénudé. Elle renversa le seau sur elle.

Elle se secoua encore repartie en courant vers la grange ou elle dormait. La maison, très modeste ne possédait qu'une seule pièce et elle était assez grande pour la cuisine et une personne,donc sa mère dormait a l'intérieur. Pomme avait l'habitude de vivre dehors et n'avait pas peur, de l'orage ou de la pluie. Elle aimait travailler quand il pleut cela la rafraîchissait.

Elle pris une robe en laine blanche que sa mère lui avait fait. La laine était si fine qu'elle était douce, porter ce vêtement c'était comme carresse sur la peau. Pomme attrapa ses ciseaux et parti dans l'étable.

Il faisait chaud dans l'étable. Les moutons étaient nombreux. Pomme savait que bientôt elle devrait se séparer de quelques uns. Elle entra dans le box d'une brebis qui avait eut des agneaux il n'y a pas longtemps. Pomme n'avait pas assisté à la mise bas et ne connaissait pas le nombre de mâle. Elle les avait observé ses derniers jours et ils ne tetaient plus leur mère.

Elle separa d'abord la mère. Puis commença le sexage en separant les mâles des femelles. Une fois ceci accomplie elle fit sortir toute les femelles sauf la maman.

Elle s'assit a côté des petits agneaus et commença a les tondres légèrement. La laine d'agneau se vend bien. Avec se qu'elle recoterai elle pourrait s'acheter de la paille pour cette hiver. Et peut être du miel avec de la chance.

Une fois les petis tondus elle regarda les femelles et se dit qu'elle les tonderai dans une semaine. Elle partie traire la mère, le seau était assez plein et elle tapota fièrement le dos de sa brebis. Puis elle parti en portant le seau de lait d'une main et de l'autre un sac de laine.

Elle posa le sac dans la grange à côté de deux autres sacs adossé contre de la paille, remplit de laine mais de brebis. Pomme toucha le sol, il était légèrement tiède. Elle descendait sous la grange pour regarder les feux. Certain était éteins, sûrement a cause du manque d'oxygène.

La jeune fille remonta ses manches et sorti l'échelle pour monter sur le toit de la grange. Elle avait un peu le vertige et s'efforçait de ne regarder en bas. Neuf tuyau sortaient du toit. Le toit de la grange était plat. Elle allai jusqu'à une petite boite et sortie un tournevis ainsi qu'une pierre entouré laine et de pic en metal.

L'objet était un peu plus petit que les conduits. Avec le tounevis Pomme retira le chapeau de la cheminée et plongea la pierre dedans. Elle la fit descendre et remonter entièrement une vingtaine de fois, puis elle remit le chapeau. Cela l'erreintai. Elle se reposa quelques minutes avant de faire de même pour la seconde. Quelque chose bloquait le conduit donc la jeune fille parti chercher le baton qui etait également posé sur le toit, il faisait environ 4 mètres.

Elle le glissa dans le conduit avec difficultés et le laissa tomber dans le tuyau. Avec ce poids l'objet se delogeait.

Pomme se souvint la fois ou ce fut un nid de guêpe. Elle n'avait pas nettoyé le conduit pendant deux mois si bien qu'un nid s'y était installé. Les guêpes furax l'avait pourchassé et elle avait sauté du toit et c'était enfermé dans la maison pour leur echapper. Elle avait rallumé le feux ensuite et était retournée dans la maison avec sa mère. Elles avait passé la journée enfermé.

Cette fois ci ce n'était pas ça. Pomme sorti le bâton et repassa le nettoyeur. Elle nettoya ainsi tout les conduits. Avec le peu de force qui lui restait elle descendit l'échelle après avoir rangé le nettoyeur et le tournevis. Elle laissait des empreinte de main sur les barreaux de l'échelle.

Elle alla au puit monta tant bien que mal a remonté un seau et se nettoya les bras.
Sa mère arriva vers elle avec du pain et un peu de beurre. Elles s'assirent et mangèrent.

Pomme ferma les yeux et ecouta le vent. Le beurre fondait car le pain était encore chaud. Sa mère se leva péniblement et lui dit calmement :
"Nous avons bientôt plus de farine. Est ce que tu pourras en moudre  ? "
Pomme acquissa car elle avait la bouche pleine. Elle n'aimait pas moudre la farine car c'était épuisant. Une fois sa bouche fini elle se leva. Et partie rangé l'échelle.
Elle ralluma les feux et pris un sac de blé.

Elle aggripa un baton et tappa dessus pendant des heures. Elle ouvrit le sac, la poudre blanche mélangé a des petites coque lui semblait bien. Elle retourna dans la grange, elle poussa son lit et accrocha au barre qui soutenait la bâtisse une grande couverture en laine. La maille était peu serre mais suffisament pour que seul la farine passe.

Pomme reussit à récupérer un peu plus de la moitié et sembla fière du resultat. Elle rangea la couverture.

Pomme regagna la maison avec l'estomac qui criait famine. Sa mère avait fait du ragoût.
Devant la maison, la charrette était sortie. Pomme le sourire aux lèvres courru rejoindre sa mère.

"C est demain que tu vas a  ?

-Oui Pomme, je partirai demain matin.

-Je viens cette fois ci.

-Tu es encore jeune et il faut quelqu'un pour veiller sur les moutons. En parlant d'eux. Les as tu rentré ? Questionna joyeusement la mère.

-Non, mais j'ai dix neuf ans. Je suis assez grande, tu te fais vieille et je veux voir autre chose que cette prairie. Je veux voir le...

-J'ai dit non. Voir du monde, quel blague. Je ne veux pas qu'il t'arrive quelques choses. Tu me ressembles trop, il est certain que les soldats te reconnaitront.

-Comment ça ? Demanda la fille.

-Rien oublies, on mange dans une heure va faire rentrer les moutons. Fini sèchement la femme."

Pomme savait qu'il était impossible de la convaincre. Cela faisait des années qu'elle essayait.
Elle parti fermé la porte de l'étable. Regarda les moutons et remarqua qu'il manquait les agneaux.
Elle s'engouffra dans le pré. Elle remarqua des petites tâches blanches.
Elle couru a leur côté. Pomme posa sa main sur le corps inerte des agneaux. Ils dormaient, elle leva les yeux sur un plant de pavot.
Pomme pris quelques graines et les regarda avidement. Elle savait quoi faire.

De l'Ombre à la LumièreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant