chapitre premier.

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rêvassant en cours de littérature. Je ne savais pas quoi faire. Je regarde chaque étudiant en les détaillant les un après les autres. Mes parents m'avait obliger à étudier la littérature alors que moi je voulais étudier les arts. Assise à côté de mon ami, Louis, un ami proche de la famille.«Louis, que fais-tu cette après-midi?»lui demandais-je.«Absolument rien.»«Je te propose de passer au manoir, si tu veux bien?»«Avec plaisir

Il me lance un sourire que je lui rends instantanément. Lorsque le cours fût fini. Louis et moi rentrons dans ma Peugeot trois-cent-soixante de couleur noir. Mes parents me l'avait acheté pour mes dix-huit ans, bien que maintenant, j'en ai dix-neuf. Nous roulions dans une forêt. Le manoir se trouvait au Coeur d'une forêt. Un peu comme un manoir hanté. Les couleurs du mur était sombre, noirci mais l'intérieur a été totalement rénové. Nous nous garons à côté de la Ferrari de mon père. Il avait toutes sortes de modèles de voiture. Il avait une Peugeot, une Citroën, une Mini, une Guépard, une Mercedes et j'en passe. Je ne voyais pas en quoi c'était utile d'en avoir autant. Nous sortons de ma voiture et rentrons à l'intérieur.«Maman, je suis rentrée.» criais-je pour l'avertir.Elle arriva devant moi. Elle posa ses mains sur ses hanches et les sourcils fronçaient.

«Que t'avais-je dit à propos du mot "maman"?» me gronda t-elle.«oui, de vous appelez "mère"!»«C'est mieux. Bonjour Louis, comment vas-tu?»«Très bien, je vous remercie madame Adams et vous?»«Merveilleusement bien. Je sors, je reviendrai ce soir!»«Très bien mère. passez une bonne soirée.»«Merci Dahlia.»Elle vient prés de moi et dépose un doux baiser sur ma joue. Elle n'oublie surtout pas de me prévenir sur le même règlement.«N'oublies pas, ne monte pas en haut.»me rappelle-t-elle«Oui mère

Elle traverse le seuil de la porte et la referme derrière elle. je me tourne vers mon ami qui me lance un regard interrogateur, je lui réponds d'un simple haussement d'épaules. Je me dirige vers la salle principal. Mes talons résonne dans le manoir. Il n'y a que mes parents et les domestiques. Nous nous asseyions sur le canapé.«Dahlia, qui y a-t-il en haut?»«rien, simplement une porte qu'on m'a interdit de franchir.»«Une porte?»Je l'observe du coin de l'oeil. Je savais ce qu'il avait en tête.«Louis, n'y pense même pas.»Son visage se decomposa totalement, il avait l'air déçu. Il se mit en face de moi.«Allons Dahlia, tu pourrais voir se qui y a derrière cette porte. Ta mère ne revient pas avant ce soir et ton père es et en voyage d'affaire.»Je vote pour le pour ou le contre. Ma curiosité me disait d'aller.voir une bonne fois pour toute mais ma conscience me l'interdissait, me disant qu'il y avait une raison pour que mes parents me l'interdissent et que je ne devais pas y aller.«Très bien.»Je me lève suivi de Louis. Nous nous montons les escaliers jusqu'au haut des escaliers. Devant nous se trouve une porte. Elle était complètement noire. Louis s'en approche, attrape la poignet de la porte et tourne la poignet mais ne s'ouvre pas. Il pousse à l'aide de son épaule mais ne s'ouvre toujours pas.  «Louis! Laisse tomber, sa ne s'ouvre pas.»«Bon! C'est pas grave!»Nous nous retournons et descendons. Derrière nous, nous entendons un grincement.  La porte s'est ouverte. Nous nous regardons,choqués de ce qui vient de se passer. Louis me prends la main et nous avançons vers la porte. Nous nous trouvons dans un long couloir sombre, des portes se trouvait sur tout le long du couloir. La porte derrière nous claqua. Je sursauta et me blottit contre Louis. Un vent glacial vient nous donnez un frisson. Les lumières du couloir s'allumèrent, tout cela commencer a me faire peur. Je ne disais rien. Il me tira pour continuer le long du couloir.

Nous marchions depuis au moins trente minutes.«Louis, cela fait une demi heure que nous marchons.»«Allez Dahlia, encore un peu.» Derrière nous, un grincement et une lumière jaillit derrière nous. Nous nous retournons. Mes pieds marchaient jusqu'à cette porte et j'y entra. C'était une chambre, tout était clair. Que des meubles, aucune décoration. C'était vide, je trouvais. Il manquait quelque chose ici. Une odeur de vanille se sent dans cette chambre, une délicieuse odeur. Louis était occupé dans les tiroirs. Je retourne dans le couloir, j'avance un peu plus loin. Je regarde autour de moi, jusqu'à je sente une présence derrière moi. Je me retourne et me retrouve plaqué contre le.mur. Une main recouvrant ma bouche pour étouffer mes cris. Je ne voyais pas son visage. Sa carrure était imposante par rapport à ma petite taille. Son souffle s'écrase sur mon visage. Je sens son regard sur moi. Il chuchote près de mon visage.«j'attends ce moment depuis si longtemps.»

Black & WhiteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant