221 Ba-b (Baby) [réécrit]

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(26/11/2018)
A/N : Alors Bonjour (bonsoir) à tous... Euh... Je voulais vous dire que celui ci était le second chapitre... On m'a appris que vous ne l'aviez jamais lu... Alors je vous explique... Je l'avais réécrit mais Wattpad l'a supprimé alors vous avez donc la VO... Espérant que ça vous plaira quand même...

(--/02/2019)
Bon, coucou mes loutres ! J'espère que vous allez bien ! Moi ça va nickel ! Mais c'est grâce à vous ! Eh oui on est PLUS DE MILLE sur cette fiction ! Si je m'y attendais... *toute émue* donc pour l'occasion j'ai remanier le texte et je vais sûrement faire une petite faq donc si vous avez des petites questions... N'hésitez pas !

- Molly ! Molly réveille-toi, intima une voix grave qu'elle ne connaissait que trop bien.

Cette voix appartenait à un détective qu'elle connaissait depuis quelques temps maintenant.
Lors de leur première rencontre, elle n'était qu'étudiante et elle l'avait pris pour son nouvel employeur.

D'ailleurs, il en avait le charisme, il lui avait tout de suite demander des corps. Elle s'était empressée d'ouvrir les compartiments et de le regarder se mettre à l'ouvrage.

Il parlait à voix haute, lui demandant d'approuver ses dires et la méprisant quand il jugeait qu'elle venait de commettre une erreur.

Aillant eu peur pour son rapport de stage, la legiste avait tout fait pour satisfaire les demandes du détective.
Elle en était là de ses pensées quand ce même étrange personnage la tira de son esprit.
Le temps que son cerveau se mette en route pour connecter tous ses neurones entre eux, il lui avait demandé sèchement s'ils avaient fait un coït. Elle s'empressa de partir tout en balbutiant comme à son habitude.
La jeune femme souffla enfin dans le taxi, arrangeant sa tenue mise à la va-vite.
Elle avait les joues chaudes et la respiration rapide.
Elle avait dormi avec Sherlock. Le grand Sherlock Holmes. L'homme sur lequel elle fantasmait.
Elle avait besoin de conseils.
Elle se rendit donc chez son amie Louise.

- Ma petite lyly ! Comment tu vas ?

- Mal...

- Entre, je vais te faire un chocolat chaud...

Pendant qu'elle le prépara, Molly s'assit et la regarda faire avec un air triste et songeur. Louise leur servit deux tasses de chocolat chaud fumantes et s'installa face à son amie.

- Maintenant tu m'expliques ce qui te chagrine.

- Sherlock croit que nous...

Elle rougit.

- Que ? insista la rousse.

- Que nous avons coucher ensemble...

- Et c'est la vérité ?

- Non... même si j'aimerai...

- C'est parfait !

- Quoi ?! Non ! C'est loin d'être parfait !

- Me dis pas que tu as eu la bêtise de lui démentir...

- Mais tu délires Louise ! Ce que tu dis n'a aucun sens !

- Au contraire... Sherlock a-t-il été une seule fois gentil avec toi ? Répond franchement...

- Non, trancha-t-elle une pointe de colère dans la voix. Il a toujours été incroyablement prétentieux et hautain.

- Donc...

- Donc quoi ?

- Tu vas lui faire croire que tu es enceinte... de lui.

- Hors de question ! C'est ignoble !

La rousse soupira.

- Sherlock a-t-il été sympa avec toi ? Non ! Et bien c'est la chance de ta vie pour lui faire payer !

La brune hésita encore un instant et acquiesca.

- Mais comment le lui faire croire ? Je te rappelle qu'il saura me déduire...

- Il suffit que tu te comportes comme telle. Dans un moment d'incertitude comme celui-là, il ne fera même pas la différence ! Tu connaîs les symptômes ?

- Oui, nausées, douleur au bas-ventre, envie soudaine...

- Ben voilà ! Tu te comporte comme telle et c'est bon...

- Et pour les "médicaments" ?

- On en achètera à la pharmacie et on les remplacera pas des pillules placebos... Alors c'est ok ? Prête pour la mission 221 baby ?

Elles éclatèrent de rire.

- Plus que prête Louise !

- J'aime mieux te voir heureuse que triste...

Molly sourit et prit conscience de l'enjeu de leur "mission". Elle allait lui mentir. Ouvertement. Rien que par vengeance. Elle avait tout à coup mal au cœur. Elle n'avais jamais fait et voulu faire du mal à quelqu'un intentionnellement. Mais elle repensa aux remarques cinglantes et aux ignorances, et sa colère remonta en elle la confirmant dans son choix.
Elle allait le faire souffrir.
Elle releva la tête, embrassa son amie et partit.

C'est ma famille.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant